
Lorsque Oscar Diggs, un petit magicien de cirque sans envergure à la moralité douteuse, est emporté à bord de sa montgolfière depuis le Kansas poussiéreux jusqu’à l’extravagant Pays d’Oz, il y voit la chance de sa vie. Tout semble tellement possible dans cet endroit stupéfiant ...
Bande-annonce :
LE JOURNAL DU GEEK : « Véritable attraction, le film nous ramène en enfance tout en gardant une certaine maturité. Malheureusement, comme les attractions, on l’oublie très vite après en être sorti pour passer à une autre. »
DEVILDEAD : « Le métrage alterne l’aventure, l’humour et le grand spectacle avec une belle aisance. Il n’y manque, peut être, qu’un poil d’émotion qui semble quelque peu absente de cet imposant divertissement. »
EXCESSIF/TF1 : « Un peu à la manière de Tim Burton avec Alice aux pays des merveilles mais en plus réussi. »
LE PARISIEN : « Au final, enfants comme adultes se retrouvent véritablement immergés dans le délirant univers d’Oz, un voyage sensoriel qui aboutit à l’un de ces trop rares moments de pure magie cinématographique. »
LIBÉRATION : «De manière presque ironique, une belle idée en fin de parcours vient aussi souligner que les moyens les plus humbles sont parfois bien plus efficaces que les machineries les plus puissantes. »
TELERAMA : « Comme on disait au temps de Judy Garland : un chouette de bath spectacle pour toute la famille ! »

À travers une histoire qui se déroule sur cinq siècles dans plusieurs espaces temps, des êtres se croisent et se retrouvent d’une vie à l’autre, naissant et renaissant successivement… Tandis que leurs décisions ont des conséquences sur leur parcours, dans le passé, le présent et l’avenir lointain, un tueur devient un héros et un seul acte de générosité suffit à entraîner des répercussions pendant plusieurs siècles et à provoquer une révolution. Tout, absolument tout, est lié.
Bande-annonce :
CRITIKAT : « si le résultat propose des élans intéressants, il apporte aussi une nouveauté plus dispensable – une menace qu’on ne pensait pas voir peser de sitôt sur la fratrie geek : celle de l’académisme, ou plus exactement une satisfaction un peu froide de la performance technique au détriment de ce qu’on voudrait en faire. »
STUDIO/ CINE LIVE : POUR « Cloud Atlas est une symphonie sur l'humanité où chaque personnage combine ses arpèges aux autres par-delà les siècles, un miracle narratif en forme de puzzle dont chaque pièce s'emboîte jusqu'au ciel. »
STUDIO/ CINE LIVE : CONTRE « Ce délire mystico-philosophique n'est que fumeux. Totalement incompréhensible. Et parfois franchement ridicule. »
PREMIÈRE : « Si les épisodes de ce blockbuster transgenre s’agrègent avec un certain brio, ils peinent à s’enrichir mutuellement. L’idée prend le pas sur l’affect, nous laissant à distance de ce fascinant puzzle. »
TÉLÉRAMA : « Cloud Atlas est un conglomérat de fragments de nanars. »
LIBÉRATION : « Ce que l’on souhaite retenir de Cloud Atlas : son imparfaite, arrogante, maladroite et pourtant exaltante ambition cosmique. »

Nell est retrouvée à la Nouvelle-Orléans sans aucun souvenir. Alors qu'elle tente de se reconstruire, les forces maléfiques l'attaquent à nouveau, plus féroces que jamais.
Bande-annonce :
À VOIR-À LIRE : « Ce nouveau segment procède de la façon la plus lourde et la plus indigeste possible, en basant l’intégralité de son script sur des effets pompiers d’apparitions et de disparitions subites, de visions grotesques, avec tout l’attirail de charlatan qu’on nous sert dans ce type de nanars. »
CINENEWS : « Le dernier exorcisme : part II est une succession de dialogues vaseux, d'effets de peur flagrants, de personnages inintéressants et de développements prévisibles, avec, pour couronner le tout, un groupe d'acteurs dont nous n'entendrons probablement jamais plus parler. »
CRITIKAT : « Sans qu’on s’ennuie plus que ça, le récit au parcours éprouvé ne passionne guère, d’autant que le réalisateur, Ed Gass-Donnelly, n’innove pas vraiment. »

Une femme se retrouve seule dans un chalet en pleine forêt autrichienne, séparée du reste du monde par un mur invisible au-delà duquel toute vie semble s’être pétrifiée durant la nuit. Tel un moderne Robinson, elle organise sa survie en compagnie de quelques animaux familiers...
Bande-annonce :
L'ECRAN FANTASTIQUE : « Le résultat s'avère souvent somptueux (...). Il ne manque à ce film rugueux qu'une énergie plus importante, une image moins contemplative. »
MAD MOVIES : « En insistant sur le poids de l'incertitude et de la solitude à grand renfort de poses contemplatives (...) surlignées par une voix off désespérée et désespérante, Julian Pösler finit par transformer son Mur invisible en un objet hermétique à la poésie forcée. »
PREMIÈRE : « Voici un film qui a le mérite de ne ressembler à aucun autre. C’est rarissime. »
STUDIO / CINELIVE : « Le mur invisible est donc une belle surprise et le récit assume jusqu'au bout sa part fantastique, tragique et psychanalytique. »
CRITIKAT : « La situation est passionnante et le traitement qu’en proposait l’écrivain autrichien impressionnant. Julian Roman Pölsler a voulu en faire du cinéma, il n’y parvient que très partiellement. »
FILM DE CULTE : « On ne peut que fantasmer de ce qu’aurait donné cette béate fascination si elle avait été débarrassée de cet interminable monologue qui embourbe le film dans un non-rythme assommant, de toute la trivialité de cette adaptation scolaire, tellement obsédée par la recréation de détails qu’il manque l’essentiel. »

Une fête dans un appartement parisien. Théodore rencontre Anna.
Ensemble, ils errent dans la ville endormie avant d’escalader les grilles du parc des Buttes-Chaumont. De cette nuit clandestine naît une étrange attirance pour ce nouveau territoire. Chaque soir, sitôt le soleil couché, le parc devient leur refuge.
Mais bientôt, ils découvrent qu’ils ne sont pas seuls.
Bande-annonce :
TÉLÉRAMA : « Un conte aux accents rohmériens, et qui dérive joliment vers le fantastique. »
STUDIO/CINÉ LIVE : « Ce jeune metteur en scène filme le Paris nocturne comme un rêve éveillé et évite, finalement, tous les poncifs. De quoi vous donner envie de découcher. »
LE NOUVEL OBSERVATEUR : « À ne jamais choisir ce dont il veut clairement traiter – histoire d’amour, tentation du fantastique, dérives psychanalytique ou sectaire –, le film finit par se dissoudre dans un maelström de pistes avortées. »
LES INROCKUPTIBLES : « Il y a chez Sébastien Betbeder un réel panache à se confronter ainsi à d’autres imaginaires dans ce court film somnambule et sensible, dont on regrettera seulement certaines afféteries et un dispositif parfois trop visible. »
CAHIERS DU CINÉMA : « Le problème du film, c'est de ne pas vraiment réussir à amalgamer ses trois matériaux : l'histoire d'une initiation sentimentale finalement assez attendue, des images d'archives souvent saisissantes et quelques éléments fantastiques, seulement raccordés en toute fin de parcours. D'autant plus que l'étirement artificiel de l'ensemble n'aide pas à la cohésion. »
CRITIKAT : « Les Nuits avec Théodore en cumule quasiment toutes les tares, pour seulement quelques qualités éparses. Il s’essaye à tout, sans forcément obtenir résultat probant. »
Sylvain Fontaine