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Au cinéma cette semaine
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Au cinéma cette semaine

C’est la fin
 
Invités à une fête chez James Franco, Seth Rogen, Jonah Hill et leurs amis sont témoins de l'Apocalypse.
 
Bande-annonce : 

 
 
MAD MOVIES : « La nature dévastatrice – voire carrément gore – du projet permet à ses auteurs de compenser l’aspect trop linéaire de leur scénario  par une belle enfilade de séquences hilarantes. »
FILM DE CULTE : « This is the end semble être né lors d’une soirée semblable à celle que l’on voit dans le film, copieusement arrosée et où les joints tournent gaiement, tant tout le film n’est qu’un gigantesque et hilarant délire. »
PREMIÈRE : « Dans leurs propres rôles (ou presque), les acteurs assument l’autoparodie jusqu’au bout. C’est l’originalité, mais aussi la limite, d’un film qui repose finalement sur un gag unique. »
EXCESSIF/TF1 : « La version longue d'un court qui aurait dû le rester. »
LES CAHIERS DU CINEMA : « Que vaudront ces références dans six mois ? Que valent-elles aujourd’hui pour un public non-américain ? »
LES INROCKUPTIBLES : « Tout ceci pourrait être agaçant, même pour un fan. Pourtant, Rogen et Goldberg parviennent à insuffler une folie, salutaire, à leurs private jokes. »
 
 
 
Metallica : through the never
 
Alors que Metallica joue plusieurs de ses tubes devant des milliers de fans, Trip est envoyé récupérer un objet mystérieux qu’il doit absolument rapporter pour le spectacle. La tâche apparemment simple prend la tournure d’une aventure surréaliste quand sa camionnette est violemment heurtée par une voiture. Trip, sonné, s’extrait du van pour se retrouver au milieu d’un imminent affrontement entre casseurs en colère et escouades de police anti-émeute. Dans ce chaos, un chevalier masqué, doté des pires intentions pose son regard meurtrier sur Trip…
 
Bande-annonce :

 
 
MAD MOVIES : « Une expérience grisante, même si la décision de privilégier le concert au détriment de l’intrigue nuit à la force de frappe du projet. »
DEVILDEAD : « Finalement, c’est un peu rageant que Metallica : through the never ne se soit pas contenté de l’essentiel en proposant de la musique, sans esbroufe, joué en «live» par l’un des plus grand groupe de métal en activité ! »
PREMIÈRE : « Saisis en Imax 3D par les caméras aériennes de Nimród Antal (Predators), Metallica exhibe ici une scénographie rutilante et déroule un répertoire en forme de best of géant. Dommage qu’ils se soient sentis obligés de booster l’« expérience » en intercalant entre les morceaux une mini-fiction. »
STUDIO/CINÉ LIVE : « Le film anarque du mois ! »
CRITIKAT : « Comme main tendue aux fans, on a vu moins subtil. »
LES INROCKUPTIBLES : « Strictement réservé aux fans de base. » 
 
 
 
Prisoners
 
Dans la banlieue de Boston, deux fillettes de 6 ans, Anna et Joy, ont disparu. Le détective Loki privilégie la thèse du kidnapping suite au témoignage de Keller, le père d’Anna. Le suspect numéro 1 est rapidement arrêté mais est relâché quelques jours plus tard faute de preuve, entrainant la fureur de Keller. Aveuglé par sa douleur, le père dévasté se lance alors dans une course contre la montre pour retrouver les enfants disparus. De son côté, Loki essaie de trouver des indices pour arrêter le coupable avant que Keller ne commette l’irréparable…
 
Bande-annonce : 
 
 
 
MAD MOVIES : « Villeneuve signe là l’un des thrillers les plus saisissants de ces dernières années. »
FILM DE CULTE : « On regrette donc un délitement de dernière minute rabaissant quelque peu un film d'une noirceur comme on en voit rarement dans la production US et qui avait jusque là su se hisser au-delà du tout-venant. »
PREMIÈRE : « Le thriller policier le plus dérangeant depuis Le Silence des agneaux. »
EXCESSIF/TF1 : « Une expérience intense. »
CRITIKAT : « Redoutablement long, Prisoners tente de jouer avec la lenteur d’une narration à la Zodiac, mais s’enlise trop vite dans un aller-retour de rebondissements censément symboliques qui noie une réalisation de plus en plus académique. »
LIBÉRATION : « Quelque chose sonne faux, ou outré et de pure forme, dans ce dosage très technique entre les ingrédients de l’effroi et la grave méditation sur la banalité du mal. »
 
Sylvain Fontaine

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