
Pour sa première expédition à bord d'une navette spatiale, le docteur Ryan Stone, brillante experte en ingénierie médicale, accompagne l'astronaute chevronné Matt Kowalsky. Mais alors qu'il s'agit apparemment d'une banale sortie dans l'espace, une catastrophe se produit. Lorsque la navette est pulvérisée, Stone et Kowalsky se retrouvent totalement seuls, livrés à eux-mêmes dans l'univers.
Bande-annonce :
SCI-FI UNIVERSE : « Le spectateur est en immersion totale et, en cela, Gravity est une œuvre qui va immanquablement faire date. »
BRAINDAMAGED : « Houston : je pense que nous avons un film culte. Courez le voir »
TF1/EXCESSIF : « Il faut être aveugle ou de mauvaise foi pour ne pas louer la gestion des effets illustratifs, les plans-séquences et les mouvements de caméra, la composition et l'échelle des plans, le travail sonore et la notion de point de vue, la fluidité narrative qui abolit le temps. »
PREMIÈRE : « Ce film touche à l’universalité avec une incroyable modernité et la simplicité de l’évidence. »
CRITIKAT : « Le parcours d’obstacles, extrêmement serré, que Cuarón oppose à ses personnages n’a rien d’une ligne droite – et c’est de là que le film tire son originalité frappante. »
LES INROCKUPTIBLES : « En dépit de toutes ses qualités, un point pourtant déçoit. Bercé, sidéré, terrifié puis enfin soulagé, jamais le spectateur n’est réellement désarçonné par un film au fond peu exigeant. »

Casanova fait la connaissance d’un nouveau serviteur qui sera le témoin des derniers moments de sa vie. Quittant un château suisse aux ambiances galantes et libertines typiques du 18ème siècle, il passe ses derniers jours dans les terres pauvres et sombres de l’Europe septentrionale. Là-bas, son monde de mondanités et sa pensée rationaliste s’effondrent face à une force nouvelle, violente, ésotérique et romantique représentée par Dracula et son pouvoir éternel.
Bande-annonce :
TF1/EXCESSIF : « Dans cette errance de deux heures trente, libre à chacun de voir ce qu'il veut : un pensum verbeux et poseur comme un poème contemplatif et ardent gorgé de visions puissantes, au temps suspendu et à l'ésotérisme assumé. Faîtes le test. »
PREMIÈRE : « Histoire de ma mort exerce un tétanisant pouvoir de fascination. »
LES INROCKUPTIBLES : « Un trip contemplatif foudroyant de beauté. »
TÉLÉRAMA : « Lorsque Casanova s'aventure dans les contrées de Dracula et que les Ténèbres commencent à défaire les Lumières, la narration se délite, hélas. »
CRITIKAT : « Histoire de ma mort s’échine à repousser toutes les normes alors même qu’il exacerbe tout ce qui tend à alimenter les stéréotypes de l’académisme labellisé art et essai : plan long et fixe, rejet de la narration, bannissement de l’acteur, confusion entre l’épure et le rien. »
LES CAHIERS DU CINÉMA : « Ces deux heures et demie d’ennui mortel (insistons : mortel) feront le désespoir de ceux qui aimaient les films de Serra et qui ont envie de mourir à la vue de cette grossière caricature de cinéma radical chic, aussi prétentieuse qu’insignifiante. »
Sylvain Fontaine