
2031. Une nouvelle ère glaciaire. Les derniers survivants ont pris place à bord du Snowpiercer, un train gigantesque condamné à tourner autour de la Terre sans jamais s’arrêter. Dans ce microcosme futuriste de métal fendant la glace, s’est recréée une hiérarchie des classes contre laquelle une poignée d’hommes entraînés par l’un d’eux tente de lutter. Car l’être humain ne changera jamais…
Bande-annonce :
DEVILDEAD : « A défaut d’atteindre la perfection, mais c'est peut être aussi ce qui fait son charme, Snowpiercer n’en reste pas moins un grand film. »
FILM DE CULTE : « Un divertissement ambitieux, grand public, personnel et réussi. Vous avouerez que ça ne court pas les rues. »
PREMIÈRE : « Les moyens colossaux ne brident jamais la folie baroque, le goût du mystère, les visées poétiques et la liberté d’un artiste qui, derrière les oripeaux du genre, balance une méchante parabole politique. »
EXCESSIF/TF1 : « Construit comme une odyssée à la fois spectaculaire et introspective, Snowpiercer : le transperceneige maintient un degré permanent d'intensité esthétique et émotionnelle. »
LIBERATION : « La collision entre cabaret brechtien et jeux vidéo, gesticulations d’apparatchiks réchappés du cauchemar stalinien et slogans néoconservateurs, charge communarde et répression impitoyable, les conflits anciens, viennent submerger l’investigation futuriste et la corroder de l’intérieur. »
TELERAMA : « De tous les blockbusters post-apocalyptiques sortis cette année (After earth, World War Z, Elysium...), Snowpiercer est le plus inspiré. Sa science-fiction imprégnée de l'air du temps laisse de la place pour d'autres significations, d'autres lectures, plus intemporelles. »

Une légende raconte qu'à la nuit tombée, une prestigieuse école de Tokyo devient le royaume de fantômes et autres créatures invraisemblables, les "Midnighters". Lors d'une journée portes ouvertes, trois petites chipies qui n'ont peur de rien pénètrent dans l'ancienne salle des sciences condamnée pour travaux et y rencontrent Monsieur Kunstlijk, l'écorché d'anatomie de l'école, et son ami Goth le squelette.
Bande-annonce :
UNIFICATION : « Un animé complètement décalé. »
FILM DE CULTE : « Dans le panorama du cinéma d’animation contemporain, After School… détonne d’abord en zappant toute explication superflue sur le background des personnages pour mieux les plonger directement dans ce grand bain zinzin, et surtout en se passant joyeusement de morale finale.. »
ECRAN LARGE : « La réussite de l'animation est clairement dans son (pseudo)ratage absolu comme celle du scénario dans son non-sens total. »
PREMIERE : « Il faut dépasser l’esthétique 3D assez laide de ce drôle d’objet, sorte de jeu de plateforme grandeur nature, pour en apprécier le non-sens digne d’un Lewis Carroll sous acide. »
CRITIKAT : « Suivre les péripéties du film, entre aberrations logiques et développements mille fois vus, pourrait s’avérer très pénible, n’était l’univers visuel exceptionnel inventé par Takekiyo et son équipe. »
LES CAHIERS DU CINEMA : « La passion du cinéaste pour les entités mouvantes (les étonnants Chabris et leur fourmillement de tentacules), les états organiques intermédiaires et les monstres gracieux, procure un inquiétant enchantement. »

Thor se bat pour restaurer l’ordre dans le cosmos, mais une ancienne race, sous la conduite du terrible Malekith, un être assoiffé de vengeance, revient pour répandre les ténèbres. Confronté à un ennemi que même Odin et Asgard ne peuvent contrer, Thor doit s’allier au traître Loki pour sauver non seulement son peuple et ceux qui lui sont chers, mais aussi l’univers lui-même.
Bande-annonce :
CLONEWEB : « Un produit suffisamment bien foutu pour qu’on passe deux heures à la cool. »
FILM DE CULTE : « C'est donc par moments, et en surface, que l'ouvrage parvient à être divertissant. »
EXCESSIF/TF1 : « Un épisode réussi dans une franchise qui a encore de belles heures cinématographiques devant elle. »
LA PARISIEN : « Alan Taylor (Game of Thrones) donne à ce péplum intergalactique une dimension guerrière très explosive. »
LES INROCKUPTIBLES : « C’est plus amusant, moins plombé que l’épisode précédent, mais ça a comme défaut de s’éparpiller en auberge espagnole, en pot-pourri sans identité. »
LE NOUVEL OBSERVATEUR : « Un blockbuster à la fois aliénant et aliéné. »

Krishna vie paisiblement avec sa femme Priya, après avoir rangé son masque. Mais le mal revient sous une forme plus féroce. Kaal et son armée vont déployer leurs pouvoirs dans le but de tout détruire. Krishna va devoir reprendre son avatar de Krrish ! Mais sa force sera mise à l'épreuve.
Bande-annonce :
Aucun critique francophone ne semble encore avoir vu ce film. On pourra s’en faire une idée sur la base d’une critique du premier volet de cette série, disponible sur DEVILDEAD.
Sylvain Fontaine