
Camiel Borgman surgit dans les rues tranquilles d’une banlieue cossue, pour sonner à la porte d’une famille bourgeoise. Qui est-il ? Un rêve, un démon, une allégorie, ou l’incarnation bien réelle de nos peurs ?
Bande-annonce :
FILMOSPHERE : « On rigole pas mal, on ne sait pas trop dans quelle direction tout cela va nous mener, et on finit par louer l’étrangeté du film plutôt que son propos sans conséquences. »
TF1/EXCESSIF : « Alex Van Warderman travaille le mystère comme l'imagination, et provoque une fascination vivace, pendant et après la projection. »
PREMIERE : « Si l’absence de mode d’emploi ou d’explication peut laisser perplexe (probablement parce que nous n’avons plus l’habitude d’être invités à penser par nous-mêmes), il est difficile de résister au spectacle étrangement euphorisant de cette cruauté nécessaire. »
LE PARISIEN : « Sacré film en tout cas. »
LES INROCKUPTIBLES : « Une bizarrerie sous cloche trop calculée pour provoquer le moindre trouble. »
CRITIKAT : « Quelques traits de génie ne masquent pas un propos trop flou qui à force de ménager diverses interprétations échoue à intéresser et encore plus à effrayer son public. »

Motana, fils d'un grand chef indien, part à l'aventure pour acquérir des pouvoirs surnaturels. La nuit, il rêve de la belle Naïda. Il se promet de l'épouser à son retour. Mais la jeune fille est aussi convoitée par le féroce Sorcier qui règne sur les chasseurs de tête. Craignant ses terribles sortilèges, Waket, père de Naïda, lui a destiné sa fille. Une guerre entre les tribus se prépare.
Bande-annonce :
IL ETAIT UNE FOIS LE CINEMA : « Le recours à une construction dramatique sert tant à s’assurer l’intérêt du grand public qu’à permettre de porter un regard moins caricatural sur les Indiens au cinéma. »
CRITIKAT : « Si In the Land... s’écarte sans nul doute du réalisme documentaire par sa forme épique d’une part et par sa forme lyrique d’autre part, c’est pour s’engager sur la voie d’un surréalisme ethnographique qui lie avantageusement le spectacle et l’archive mémorielle. »
LES INROCKUPTIBLES : « La musique de Burger, conçue sur un mode ambient/world, mêlant archaïsme et électronique (guitares, synthés, samplers), vient surligner l’action, contredisant la « pureté » ontologique du film et atteignant un paroxysme techno pour les séquences de danse. Heureusement, le travail génial de Curtis, qui a su faire revivre une culture anéantie avec une acuité fascinante, résiste à cette intrusion. »
LIBERATION : « Un ethno-voyage envoûtant. »

Un couple est projeté dans un monde parallèle où pullulent des bêtes fabuleuses pas forcément hospitalières...
Bande-annonce (VO) :
Seuls 2 cinémas projettent en France ce film qui n’a pas été vu par les critiques.
Sylvain Fontaine