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Au cinéma cette semaine
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Au cinéma cette semaine

Minuscule - La vallée des fourmis perdues
 
Dans une paisible forêt, les reliefs d’un pique-nique déclenchent une guerre sans merci entre deux bandes rivales de fourmis convoitant le même butin: une boîte de sucres ! C’est dans cette tourmente qu’une jeune coccinelle va se lier d’amitié avec une fourmi noire et l’aider à sauver son peuple des terribles fourmis rouges...
 
Bande-annonce : 
 
 
CLONEWEB : « Le film montre qu’on est capable de faire de l’animation audacieuse et de qualité en France et qu’on peut faire 90 minutes pratiquement muettes, chose que Pixar n’a jamais tenté au format long, pendant lesquelles les gamins ne bougent pas de leur sièges. » 
ABUS DE CINE : « Le cinéma français a donc de quoi s'enorgueillir de ce projet original, techniquement proche de la perfection, et aussi riche en aventures qu'en personnages à l'étrange humanité. » 
PREMIERE : « Un film majuscule pour tous. » 
STUDIO/CINELIVE : « Une course-poursuite qui regorge d'ingéniosité. » 
LES INROCKUPTIBLES : « Minuscule n’a pas froid aux yeux et, d’un point de départ riquiqui, finit par culminer dans des séquences de fourmilière assiégée façon Seigneur des anneaux, à grand renfort de thèmes symphoniques. » 
TELERAMA : « Minuscule fait tout oublier : les 1 001 Pattes de Pixar, le Fourmiz de DreamWorks, tout fait toc et plastique à côté de cette odyssée farfelue. » 
 
 
 
I, Frankenstein 
 
Adam, la créature de Frankenstein, a survécu jusqu'à aujourd'hui, grâce à une anomalie génétique survenue lors de sa création. Son chemin l'a mené jusqu'à une métropole gothique et crépusculaire, où il se retrouve pris par une guerre séculaire sans merci entre deux clans d'immortels. Adam va être obligé de prendre parti et de s'engager dans un combat aux proportions épiques.
 
Bande-annonce : 
 
  
GENTLEGEEK : « Un divertissement honnête, un film pop-corn distillant de l’action pure et des effets spéciaux efficaces. Mais durant le visionnage, difficile de ne pas penser au classique de Mary Shelley, qui a sans doute rejoint le club des auteurs faisant des triple axels dans leur tombe. Aïe, Frankenstein ! » 
CINEMA CLUB : « I, Frankenstein renouvelle en profondeur le mythe de la créature inventée par Mary Shelley et il aurait mieux pas valu. » 
LE VIF : « Face à une telle débauche d'imbécilité et de laideur, on peut légitimement prendre le parti d'en rire. » 
CINOCHE : « I, Frankenstein est le navet saisonnier auquel on s'attendait, mais qui ne nous dégoûte pas moins pour autant. » 
LA PRESSE : « On va se battre (quelques belles chorégraphies ici et là), on va aller de rebondissements (prévisibles) en rebondissements (encore plus prévisibles), et on va rire devant certains effets spéciaux (ce n'est pas le but, mais c'est le résultat). 
TELERAMA : « Moi, la créature de Frankenstein, je me suis fait avoir sous toutes les coutures. »
 
 
 
Jacky au royaume des filles 
 
En république démocratique et populaire de Bubunne, les femmes ont le pouvoir, commandent et font la guerre, et les hommes portent le voile et s’occupent de leur foyer. Parmi eux, Jacky, un garçon de vingt ans, a le même fantasme inaccessible que tous les célibataires de son pays : épouser la Colonelle, fille de la dictatrice, et avoir plein de petites filles avec elle...
 
Bande-annonce : 
 
 
MAD MOVIES : « Une fable uchronique qui tranche radicalement avec ce que la comédie franchouillarde a pour habitude de proposer. » 
FILM DE CULTE : « Jacky au royaume des filles est un sketch de Groland de 2 minutes mais étiré sur 1h30. Soit un film rapidement pénible, répétitif, étouffant, où une bonne partie des rires vient d'un défilé de contre-emplois dont on a vite fait le tour. » 
BRAINDAMAGED : « Le manque de parti pris sur le sujet principal et l’implication dans des détails plus secondaires en font une mauvaise comédie bas du front qui peine à extorquer un sourire aux moins neurasthéniques. » 
EXCESSIF/TF1 : « La blague est amusante cinq minutes. Etirée sur une heure trente, elle devient assez embarrassante. » 
PREMIERE : « Comme Bertrand Blier dans sa période Calmos, le réalisateur pousse loin la satire sans peur du ridicule et de l’étiquette de phallocrate que l’on va lui coller. » 
CRITIKAT : « Précédé par une réputation de conte transgressif, Jacky au royaume des filles déçoit particulièrement, d’autant plus que son scénario était marqué par une ambition généralement absente des comédies françaises. »
 
Sylvain Fontaine

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