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Au cinéma cette semaine
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Au cinéma cette semaine

Noé 
 
Noé est un homme promis à un destin exceptionnel alors qu’un déluge apocalyptique va détruire le monde. La fin du monde… n’est que le commencement.
 
Bande-annonce : 
 
 
FILM DE CULTE : « Un film à la structure atypique, mêlant les genres avec une cohérence impressionnante sans jamais nuire à un propos qui parvient à éviter tout prosélytisme. »
ECRAN LARGE : « Aronofsky n'a pas totalement réussi son pari d'offrir un blockbuster accompli doublé d'une œuvre engagée et politique, mais il aura accouché d'un grand spectacle aux thèmes et aspirations radicalement différentes du tout-venant. »
PREMIERE : « Même si Daren Aronovfsky est très fidèle à la Bible, sa vision s’avère à la fois audacieuse et iconoclaste, intemporelle et indépendante. »
A VOIR – A LIRE : « Le film oscille ainsi, pendant plus de deux heures, entre de belles séquences et des moments ratés où l’artifice reprend ses droits sur le mystère. »
TELERAMA : « Daren Aronofsky passe d'un genre à l'autre (film d'aventure, film catastrophe...), sans sombrer dans une armada d'effets. L'intéresse surtout le théâtre sombre et inattendu d'un affrontement familial, proche d'une tragédie. »
CRITIKAT : « Il se peut certes que Daren Aronovfsky ne devienne jamais grand, ne dépasse jamais le cap du faux mauvais film, du chef-d’œuvre raté. Mais peu importe au fond, tant sur l’écran comme dans la vie, ce qui rend quelque chose bancal, c’est aussi souvent ce qui le rend beau. »
 
 
 
Divergente 
 
Tris vit dans un monde post-apocalyptique où la société est divisée en cinq clans. À 16 ans, elle doit choisir son appartenance pour le reste de sa vie. Cas rarissime, son test d’aptitude n’est pas concluant : elle est Divergente. Dissimulant son secret, Tris intègre l’univers brutal des Audacieux dont l’entraînement est basé sur la maîtrise de nos peurs les plus intimes.
 
Bande-annonce : 
 
  
ECRAN LARGE : « Absolument pas maîtrisé, avec une absence totale de fond, une mise en scène peu inspirée et des acteurs moyennement motivés, Divergente accumule les mauvais points et se positionne comme l'un des vilains petits canards de la portée. » 
FILMOPSHERE : « Il est donc d’autant plus paradoxal et dommageable de voir un film passer son temps à parler d’émancipation en formatant tout ce qui pourrait sortir d’un cahier des charges bien trop épais pour être honnête. » 
CLONEWEB : « C’est la fête des clichés. » 
PREMIERE : « La direction photo sombre et « réaliste », l’âpreté politique de la fable et le casting de Shailene Woodley en néo-Jennifer Lawrence sont autant de paris payants. » 
LA PRESSE : « Bref, Divergent est un cas crève-cœur à côté. Les fans de l'œuvre originale lui accorderont une constellation d'étoiles, et pourquoi pas. Mais les autres risquent d'aller à l'autre extrême : un récit qui ne tient pas debout, des enjeux pas clairs, un rythme déficient. » 
LES INROCKUPTIBLES : « Rien de neuf dans les fantasmes adolescents, à ceci près que le futur n’a jamais autant ressemblé à une école de commerce. »
 
 
 
Computer Chess 
 
Placé au cœur d’un week-end de compétition de programmateurs de logiciels d’échecs vers 1980, Computer Chess va faire revivre aux spectateurs cette époque où l’esprit humain testait ses limites face à la machine lors de parties d'échecs. Des programmateurs un peu excentriques participent à la préparation des ordinateurs, afin que ces derniers puissent battre l’homme à son propre jeu.
 
Bande-annonce : 
 
 
FILMOSPHERE : « Un film qui aurait pu devenir un petit bijou d’humour et d’efficacité si seulement il avait eu l’audace de croire assez en son sujet ou ses personnages, et qui donne au final l’impression d’un très bon court-métrage dont on aurait vidé la substance en voulant l’étirer artificiellement pour atteindre les 90 minutes. »
MAD MOVIES : « Les enjeux de pouvoir entre concurrents dérivent insensiblement vers des saynètes à la fois pince-sans-rire et hallucinées. »
FRANCE TV INFO : « Computer Chess n’est pas alarmiste et aucunement paranoïde, mais pointe avec humour, en se référant à des débuts hésitants - avec ces ordinateurs encombrants, risibles, comparés aux nôtres aujourd’hui -, combien les dérives sont d’actualité et la partie d’échecs toujours engagée. »
PREMIERE : « Andrew Bujalski interroge subtilement la pérennité des sentiments dans un monde de plus en plus virtuel. Une approche complexe, pour ne pas dire confuse, pleinement stimulante quand le film bascule dans le fantastique... à quelques minutes de la fin. »
CRITIKAT : « Computer Chess frôle la perfection rythmique et trouve un équilibre presque miraculeux dans la construction de son montage et sa gestion des différentes sous-intrigues et groupes qui gravitent autour du tournoi. Équilibre d’autant plus fort que si l’humour de Computer Chess ne renie jamais son penchant pour la légèreté et la fantaisie bizarre, il n’en demeure pas moins couplé à une sourde inquiétude et un vertige existentiel face à l’émergence possible d’une intelligence artificielle. »
TELERAMA : « Marrant ou glaçant ? »
 
 
 
Une braise sur la neige
 
Antoine vit dans un château depuis trente ans sous l'autorité de sa mère. C'est un homme pour lequel le temps s'est arrêté. Un jour n'y tenant plus, il prend sa voiture et s'en va. Sur la route il renverse Liz, une jeune femme fantasque et sans argent, accident sans gravité. Une rencontre qui s'avère importante, puisque peu à peu Liz manipule gentiment Antoine afin de s'installer chez lui. Là, ils commencent à mener une vie à part…
 
Bande-annonce : 
 
 
LE MONDE : « Mi-conte de fées, mi-fable dépressive sur la tragédie de la solitude, Une braise sur la neige marie constamment les tons, presque en huis clos. Le désir manifeste de compliquer la trame narrative finit par peser sur l'ensemble. C'est un peu frustrant, et c'est dommage, car la matière brute avait suffisamment d'intérêt, et le jeune réalisateur d'idées, pour que le film s'autorise plus de simplicité. »
 
Sylvain Fontaine

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