
Le prince Vlad III de Valachie, pour combattre les Turcs qui exigent un tribut de 1000 jeunes hommes en gage de paix, conclut un accord avec un démon : il acquerra les pouvoirs nécessaires pour anéantir ses ennemis, en l’échange de quoi, il sera accablé d’une insatiable soif de sang humain. S’il parvient à y résister pendant trois jours, Vlad redeviendra lui-même, mais s’il cède à la tentation, il entrera le monde des ténèbres pour le restant de ses jours…
Bande-annonce :
ECRAN LARGE : « Une série B à tendance Z, embourbée dans une médiocrité phénoménale. »
NO POPCORN : « L'intelligence de la mise en scène et de la narration modernisée permet à Dracula Untold de se démarquer des autres adaptations et de nous livrer un "SuperDracula", une sorte de super-héros vampirique, interprété par un Luke Evans qui dégage le charisme que l'on attend de Vlad l'Empaleur. »
LE VIF : « Un film d'action bas du front où rien ne subsiste de la poésie, ni du romantisme de l'original. »
A VOIR – A LIRE : « Loin d’être une vile entreprise commerciale, ce projet ambitieux excelle dans le divertissement généreux. »
LE MONDE : « Dépourvue d’ambitions et d’épaisseur en matière de psychologie, cette variante reste un divertissement léger envisageable pour une fin de semaine chargée. »

Soupçonné d’avoir assassiné sa fiancée, rejeté par tous ceux qu’il connaît, Ignatius a sombré dans le désespoir. Un matin, il se réveille avec une paire de cornes sur la tête. Celles-ci lui donnent un étrange pouvoir, celui de faire avouer leurs plus noirs secrets aux gens qu’il croise. Ignatius se lance alors à la recherche du véritable meurtrier…
Bande-annonce :
FILMS-HORREUR.COM : « Horns se doit d’être défendu, rien que pour l’audace d’Alexandre Aja d’adapter cette histoire loufoque sur grand écran d’aussi bonne façon. Au moins, le film ne ressemble à aucun autre et vous marquera l’esprit que ce soit pour de bonnes ou de mauvaises raisons. »
NO POPCORN : « En mélangeant les genres, le cinéaste les rend complètement inefficaces et casse tout dynamisme et suspense à l'histoire. »
PREMIERE : « Le mélange des registres est intéressant mais encore mal dosé, certaines touches exagérément comiques venant parfois neutraliser les intentions dramatiques d’une même scène. »
A VOIR – A LIRE : « Un joyeux bordel qui au final ne ressemble pas à grand-chose. »
LE MONDE : « Alexandre Aja tente de faire un conte gothique et n’aboutit qu’à un thriller assez basique dont on regrette le manque d’originalité, de poésie et de piquant. »
CRITIKAT : « Dommage qu’on ne puisse oublier une dernière demi-heure ratée tant Horns est renversant plastiquement, grinçant comme les portes de l’enfer et terriblement jouissif. »
Sylvain Fontaine