Vincent n'a pas d'écaillesVincent a un pouvoir extraordinaire : sa force et ses réflexes décuplent au contact de l’eau. Pour vivre pleinement ce don, il s’installe dans une région riche en lacs et rivières, et suffisamment isolée pour préserver sa tranquillité. Lors d’une escapade aquatique, il est surpris par Lucie dont il tombe amoureux.
Bande-annonce :
MAD MOVIES [pour] : « La seule œuvre cousine venant à l’esprit serait le fabuleux Incassable de Shyamalan. »
MAD MOVIES [contre] : « Il est tentant de faire un parallèle entre ce héros qui ne sait pas vraiment quoi faire de son pouvoir… et son créateur qui ne semble jamais savoir quoi faire de son film. »
FILM DE CULTE: « On ne demandait pas nécessairement à Vincent de détruire des villes entières, et ça n'était d'ailleurs pas le propos du réalisateur, mais son minimalisme et sa modestie brident un peu le long métrage. »
A VOIR – A LIRE : « Une comédie dramatique lacustre dont on aime les références et la singularité lunaire. »
CRITIKAT : « Construit sur des successions de petites actions, le film se concentre sur d’infimes détails et attire l’attention sur toute une gamme de nuances. »
TELERAMA: « On aimerait quelques péripéties en plus, davantage de tension, des sautes de rythme. »
Jason Tantra, un cameraman placide, rêve de réaliser son premier film d'horreur. Bob Marshall, un riche producteur, accepte de financer son film à une seule condition : Jason a 48 heures pour trouver le meilleur cri de l'histoire du cinéma…Bande-annonce :
RÉALITÉ de Quentin Dupieux - Bande-annonce par diaphana
ECRAN LARGE : « Le film se désagrège ainsi presque intégralement dans son dernier acte, en forme de doigt d’honneur aux attentes du spectateur. »
FILM DE CULTE : « La fascination que peut provoquer une histoire tellement incroyable, cette curiosité pleine de plaisir, c'est le coeur-même du film. »
PREMIERE : « Si la révolution Dupieux n’a pas eu lieu, on continue néanmoins de sourire devant certaines situations dadaïstes dont il a le secret. »
GALA : « Réalité n’est pas dénuée de qualités, mais à trop vouloir multiplier les effets, le réalisateur perd un peu le spectateur. »
CRITIKAT : « Au gré des basculements d’un niveau de réalité à l’autre, nous sommes invités à nous perdre et à savourer notre dérive sur une route non-euclidienne, où d’un point A on ne s’attend plus à aller au point B mais on s’ouvre à un sentiment d’inconnu au milieu de motifs pourtant déjà vus. »
TELERAMA : « Il arrivera peut-être un jour où on dira « dupieusien », comme on dit « bunuelien » ou « lynchien ».
Sylvain Fontaine