
Le père de la jeune Ella, un marchand, s’est remarié après la mort tragique de la mère de la jeune fille. Pour l’amour de son père, Ella accueille à bras ouverts sa nouvelle belle-mère, Lady Tremaine, et ses filles Anastasia et Drisella. Mais lorsque le père d’Ella disparaît à son tour, la jeune fille se retrouve à la merci de sa nouvelle famille, jalouse et cruelle.
Bande-annonce :
BRAIN DAMAGED : « De la narration à la mise en scène de l’histoire des personnages, le terme «copié -collé» est le plus correct pour décrire ce long-métrage. »
ECRAN LARGE : « Ce nouveau Cendrillon n'invente rien, mais c'est sans doute la bonne idée du film, nous replonger simplement dans un grand classique de notre enfance. »
LE PARISIEN : « Les 4-8 ans et leurs grands-parents devraient adorer ce long-métrage de facture très classique, où les belles images et les jolis décors sont autant d'écrins pour des comédiens qui interprètent leur rôle honnêtement mais sans éclat. »
A VOIR – A LIRE : « On exigera des enfants qu’ils aillent au bal seuls et qu’ils reviennent avant le douzième coup de minuit s’ils ne veulent pas être fustigés, car pour les parents, il n’y a aucune raison de s’infliger une adaptation aussi futile. »
LA CROIX : « Le film déçoit par son manque d’imagination, sa naïveté un peu niaise et la fadeur de ses dialogues. »
CRITIKAT : « En restant à la surface du conte et en en proposant une lecture littérale, le réalisateur s’enlise dans un film réactionnaire dans le fond et ringard dans la forme. »

Léo Woeste est inspecteur à la brigade criminelle de Bruxelles. Il vit avec Kathleen et leur fils Jack, 5 ans. Jour après jour, il explore les bas-fonds de la ville, le « Waste Land ». Sa famille lui permet de garder pied. Mais l’enquête sur le meurtre d’un jeune congolais amène Léo à rencontrer la soeur de la victime, une femme magnétique et déterminée. Entre rituels, fascination et vieux démons, l’équilibre de Léo semble plus que jamais menacé…
Bande-annonce :
L’ECRAN-MIROIR : « Donc ne pensez pas avoir devant vous un polar sans ambition, bien au contraire. Sachez juste que le film risque de vous déstabiliser car parfois trop « embrouillé ». »
CLONE WEB : « Dommage qu’on ne sache finalement jamais sur quel pied le film voulait danser. »
PREMIERE : « Sur une trame classique, le troisième film de ce cinéaste belge dégage énergie et personnalité. »
CINENEWS : « N’espérez pas pouvoir quitter la salle subrepticement le cœur léger pour aller vous acheter le paquet de bonbons oublié : vous ne décollerez pas de l’écran. »
LE BLOG DU CINEMA : « Le film se perd dans les méandres de l’esprit de son héros. Long et décousu, il est difficile à suivre.
CRITIKAT : « Waste Land ne tire guère de la désolation de l’âme qu’une peinture vaguement déprimante mais froide et distante, à la surface de la vérité oppressante de son sujet. »
Sylvain Fontaine