Petite séance de rattrapage avec deux films à l'affiche.
EX MACHINA

Caleb est programmateur de l’une des plus importantes entreprise d’informatique au monde. Lorsqu’il gagne un concours pour passer une semaine dans un lieu retiré en montagne appartenant à Nathan, le PDG de son entreprise, il découvre qu’il va en fait devoir participer à une fascinante expérience...
Bande-annonce :
L’ECRAN-MIROIR : « Avec son esthétique remarquable, son ambiance sonore très travaillée, ses effets spéciaux invisibles mais paradoxalement bluffants, Ex Machina est une oeuvre de Science-fiction tout ce qu'il y a de plus recommandable, l'une des meilleures à être sortie récemment. »
ECRAN LARGE : « À l'heure où science-fiction rime trop souvent avec blockbuster hystérique, retrouver le genre sous la forme d'un conte d'anticipation soigné et respectueux du spectateur est un petit plaisir qui ne se refuse pas. »
A VOIR – A LIRE : « Cette fable d’anticipation propice à une approche réflexive sur l’I.A, si elle manque certes un peu d’originalité, s’avère assez fine et cérébrale pour ne pas décevoir. »
PREMIERE : « Qualité d’écriture, subtilité de ton, ingéniosité sur le plan de la direction artistique (sensationnelle) et capacité des acteurs à se montrer divertissants. »
TELERAMA : « Les personnages sont défendus par des interprètes convaincants, qui évoluent avec toute l'agilité requise dans cet univers fantaisiste et inquiétant, stylé et séduisant. »
CRITIKAT : « Malgré son appartenance à une science-fiction dite d’anticipation, Ex Machina se trouve ainsi trop appesanti par sa mise en scène verrouillée et ses incessantes citations bibliques pour parvenir à inventer quoi que ce soit. »
JURASSIC WORLD

L'Indominus Rex, un dinosaure génétiquement modifié, pure création de la scientifique Claire Dearing, sème la terreur dans le fameux parc d'attraction. Les espoirs de mettre fin à cette menace reptilienne se portent alors sur le dresseur de raptors Owen Grady et sa cool attitude.
Bande-annonce :
Jurassic World / Bande-annonce officielle... par Universal_Pictures_France
ECRAN LARGE : « À ne pas choisir entre l'hommage respectueux et le gros délire, Jurassic World finit par se perdre et proposer une grosse attraction manquant singulièrement de caractère. »
OBLIKON : « Même si vous devriez passer un agréable moment devant ce film, il n’arrive pas à la cheville de son aîné. »
A VOIR – A LIRE : « Avec un sens mordant du suspense, une petite dose de violence bien sentie et une tendance au sadisme vorace, la résurrection de Jurassic Park est un spectacle total. »
PREMIERE : « L’accumulation de références ironiques plus subtiles que de simples gadgets ne fait que décupler cette impression d’hommage permanent, et sincère. »
TELERAMA : « Peu d'innovation dans un scénario presque calqué sur le premier Jurassic Park. Pas grave : truffé de clins d'oeil, très spectaculaire, le film assume ouvertement son ADN, sans doute prélevé dans la barbe de Spielberg, ici coproducteur. »
CRITIKAT : « A l’ambition de réorienter la franchise, Colin Trevorrow apporte malheureusement moins d’inventivité qu’il ne picore dans les blockbusters du moment – et pas nécessairement les meilleurs – pour nous servir un patchwork insipide. »