
Un chasseur de sorcières immortel fait équipe avec son meilleur ennemi pour empêcher le sabbat de New York de libérer la peste sur le monde...
CHECK THE FILM : « À voir dans un moment de déconnexion cérébrale… «
L'ECRAN-MIROIR : « Un gros nanar sympatoche. »
A VOIR – A LIRE : « Cette comédie d’action et d’épouvante se savoure comme un spectacle de circonstance plutôt au-dessus de la mêlée des autres productions surnaturelles pour adolescents. »
LA PRESSE : « Ça se battra, ça s'unira, ça se trahira. Ça suivra une ligne dramatique mal tendue, pas claire, passant d'un mythe à un autre, sautant de ci à ça, puis à autre chose - comme si le fil conducteur allait d'une idée qui surgit sur le coup à une autre. »
ECRAN LARGE : « Vin Diesel se moque de nous avec cette aventure ridicule et terriblement flemmarde. Mais il n'est pas interdit d'en rire. »
TELERAMA : « Images numériques baveuses pour un navet hallucinogène qui provoque d'ahurissantes visions. »

Dans un futur proche… Toute personne célibataire est arrêtée, transférée à l’Hôtel et a 45 jours pour trouver l’âme soeur. Passé ce délai, il sera transformé en l'animal de son choix. Pour échapper à ce destin, un homme s'enfuit et rejoint dans les bois un groupe de résistants ; les Solitaires.
CINENEWS : « Porté par un casting irréprochable, The lobster est un incroyable objet de cinéma qui fait se succéder les moments de grâce jusqu'à son terrifiant final. »
FUCKING CINEPHILES : « C'est gentiment installé dans le Top 10 de l'année ciné 2015 que risque de finir le troisième long métrage de Lanthimos, sans conteste son meilleur. »
A VOIR – A LIRE : «Tout ça est très pertinent et d'un nihilisme lyrique absolu. »
PREMIERE : « C’est la force du surréalisme, quand il est bien fait, que de nous faire gober les situations les plus extrêmes avec cruauté, drôlerie et sens. »
CRITIKAT : « Lanthimos a toujours soigneusement distillé dans ses œuvres précédentes un cynisme qui éclate ici au grand jour sous les apparats d'une fable dystopique
LE BLEU DU MIROIR : « Un mélange étrangement homogène où la douceur côtoie et résiste, malgré tout, à la cruauté et à l’oppression dans un objet curieux, aussi troublant qu’attachant. »