Insensibles

De nos jours, David Martel, brillant neurochirurgien, doit retrouver ses parents biologiques pour procéder à une greffe indispensable à sa survie. Dans cette quête vitale, il va ranimer les fantômes de son pays et se confronter au funeste destin des enfants insensibles.
Interdit aux moins de 16 ans.
Bande-annonce :
Mad movies : « Si sa mise en scène classique peine à convoquer le lyrisme qui aurait permis au long-métrage de décoller vers les cimes de puissance promises par la force de son sujet, le réalisateur signe tout de même l’une des premières œuvres les plus prometteuses depuis le franco-belge Amer. »
L’écran fantastique : « Juan Carlos Medina (...) témoigne d'une étonnante maturité, illustrant un scénario passionnant, (...) entraînant le spectateur dans des chemins de traverse d'autant plus inquiétants qu'ils touchent à la part la plus personnelle, la plus secrète : l'enfance. »
Première : « Passé le temps qu’il faut pour s’habituer à une structure un peu alambiquée, Insensibles s’impose avec une conviction qui rappelle les films espagnols de Guillermo del Toro. »
Excessif : « ce coup d'essai révèle un jeune cinéaste (...), qui laisse à son récit le temps de se déployer, qui sait obtenir des acteurs enfants des perfs assez hallucinantes; et qui a quelque chose à dire (...) C'est terrible, juste et beau. »
Telerama : « effets horrifiques complaisants, utilisation de l'Histoire à de simples fins spectaculaires. Et la fin tourne au grand n'importe quoi... »
Les Inrockuptibles : « Une très belle conclusion suspendra le film dans cette atmosphère mélancolique dont on avait oublié qu’elle épousait si bien les visions d’horreur. »
Ted

Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs.
Bande-annonce :
L’écran fantastique : « Une comédie fantastique originale, sur la symbolique de l'enfance. »
Mad movies : « Le film n’est pas mal construit, toute la dernière partie s’amusant notamment à aligner des épisodes sentimentaux qui suffisent d’habitude à boucler les comédies romantiques, mais qui ne font ici vaciller qu’à moitié une héroïne particulièrement récalcitrante. »
Première : « le film [finit] comme il l’avait commencé : outrancier, mal élevé et prêt à vanner tout ce qui bouge. Very bad toy. »
Telerama : « Un vrai conte, tout simplement. »
Les Inrockuptibles : « Alors qu’on pensait le genre éculé, poussé à son beau terme par Apatow & Co (SuperGrave, Frangins malgré eux, I Love You, Man…), Seth MacFarlane vient en repousser la date de péremption avec une stupéfiante efficacité. »
Clochette et le secret des fées

Bande-annonce :
Première : « Avec son script très girly, ce nouvel épisode de la série des Disney Fairies (quatre films depuis 2008) ne s’adresse qu’aux petites filles. »
Télérama : « pour que la magie opère, il manque à ce volet un scénario qui tienne la route. Et la mauvaise humeur tranchante du capitaine Crochet. »
Sylvain Fontaine