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Cinéma : les sorties de la semaine
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Cinéma : les sorties de la semaine

Insensibles
 
A la veille de la guerre civile espagnole, un groupe d’enfants insensibles à la douleur est interné dans un hôpital au cœur des Pyrénées.
De nos jours, David Martel, brillant neurochirurgien, doit retrouver ses parents biologiques pour procéder à une greffe indispensable à sa survie. Dans cette quête vitale, il va ranimer les fantômes de son pays et se confronter au funeste destin des enfants insensibles.
 
Interdit aux moins de 16 ans.
 
 
Bande-annonce : 
 
 
Mad movies : « Si sa mise en scène classique peine à convoquer le lyrisme qui aurait permis au long-métrage de décoller vers les cimes de puissance promises par la force de son sujet, le réalisateur signe tout de même l’une des premières œuvres les plus prometteuses depuis le franco-belge Amer. »
L’écran fantastique : « Juan Carlos Medina (...) témoigne d'une étonnante maturité, illustrant un scénario passionnant, (...) entraînant le spectateur dans des chemins de traverse d'autant plus inquiétants qu'ils touchent à la part la plus personnelle, la plus secrète : l'enfance. »
Première : « Passé le temps qu’il faut pour s’habituer à une structure un peu alambiquée, Insensibles s’impose avec une conviction qui rappelle les films espagnols de Guillermo del Toro. »
Excessif : « ce coup d'essai révèle un jeune cinéaste (...), qui laisse à son récit le temps de se déployer, qui sait obtenir des acteurs enfants des perfs assez hallucinantes; et qui a quelque chose à dire (...) C'est terrible, juste et beau. »
Telerama : « effets horrifiques complaisants, utilisation de l'Histoire à de simples fins spectaculaires. Et la fin tourne au grand n'importe quoi... »
Les Inrockuptibles : « Une très belle conclusion suspendra le film dans cette atmosphère mélancolique dont on avait oublié qu’elle épousait si bien les visions d’horreur. »
 
 
 
Ted 
 
À 8 ans, le petit John Bennett fit le voeu que son ours en peluche de Noël s’anime et devienne son meilleur ami pour la vie, et il vit son voeu exaucé. Presque 30 ans plus tard, l’omniprésence de Ted aux côtés de John pèse lourdement sur sa relation amoureuse avec Lori. Bien que patiente, Lori voit en cette amitié exclusive, consistant principalement à boire des bières et fumer de l’herbe devant des programmes télé plus ringards les uns que les autres, un handicap pour John qui le confine à l’enfance, l’empêche de réussir professionnellement et de réellement s’investir dans leur couple. Déchiré entre son amour pour Lori et sa loyauté envers Ted, John lutte pour devenir enfin un homme, un vrai !
 
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs.
 
Bande-annonce : 
 
 
L’écran fantastique : « Une comédie fantastique originale, sur la symbolique de l'enfance. » 
Mad movies : « Le film n’est pas mal construit, toute la dernière partie s’amusant notamment à aligner des épisodes sentimentaux qui suffisent d’habitude à boucler les comédies romantiques, mais qui ne font ici vaciller qu’à moitié une héroïne particulièrement récalcitrante. » 
Première : « le film [finit] comme il l’avait commencé : outrancier, mal élevé et prêt à vanner tout ce qui bouge. Very bad toy. » 
Telerama : « Un vrai conte, tout simplement. »
Les Inrockuptibles : « Alors qu’on pensait le genre éculé, poussé à son beau terme par Apatow & Co (SuperGrave, Frangins malgré eux, I Love You, Man…), Seth MacFarlane vient en repousser la date de péremption avec une stupéfiante efficacité. » 
 
 
 
Clochette et le secret des fées
 
Il existe au-delà de la Vallée des Fées un royaume où l’hiver est roi : la Forêt Blanche. Bien qu’il soit interdit d’y pénétrer, l’intrépide Clochette décide de s’y aventurer, mais un étrange phénomène se produit dès qu’elle en passe la frontière : ses ailes se mettent à scintiller de mille feux. En cherchant à en connaître les raisons, elle fait la connaissance d’une mystérieuse fée des glaces qui lui ressemble étrangement. Cette rencontre va non seulement bouleverser sa vie, mais également ébranler les certitudes de tout son groupe d’amies et des habitants de la Vallée des Fées…
 
Bande-annonce : 
 
 
Première : « Avec son script très girly, ce nouvel épisode de la série des Disney Fairies (quatre films depuis 2008) ne s’adresse qu’aux petites filles. »
Télérama : « pour que la magie opère, il manque à ce volet un scénario qui tienne la route. Et la mauvaise humeur tranchante du capitaine Crochet. »
 
 
Sylvain Fontaine

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