Selon lui ces sagas provoqueraient chez les jeunes une accoutumance compulsive identique à celle provoquée par les sucres, et surtout endommageraient leurs capacités intellectuelles. Ces lectures, selon lui, participeraient également à l'insensibilité et au matérialisme de nos chères têtes blondes.
Une publication qui a valu pas mal de réactions comme celle de l’auteure Samantha Shannon dans sa tribune sur le Guardian. Elle soulève notamment que les textes classiques, comme les pièces de Shakespeare par exemple, sont tout aussi violente et traumatisante dans leur propos que les romans cités par Graeme Whiting.