La couverture donne le ton:
Des hommes masqués, du muscle, des créatures amphibies en blouson de cuir noir. Bref, on se lâche.
Mais dans l'univers de Jerry Frissen, le sérieux n'est pas de rigueur. Vous aurez donc un hommage aux films bis, au catch, aux productions ratées, dans un déni de réalité, pour notre plus grand plaisir.
La chronique se trouve par
ici Bonne soirée
Degemermat