Philippe Curval a lu le Voyageur roman de James Smythe chez Bragelonne. Le voyage en question est, de prime abord, un grandiose projet d'exploration de l'espace mais il est en fait loin des aventures classiques du genre. Curval le qualifie de Gravity à l'envers, ce qui a de quoi intriguer, d'autant qu'on apprend dès le début que tout l'équipage meurt peu de temps après le départ, sauf le narrateur, bien sûr, journaliste de son état. Donc bien placé pour raconter une histoire qui semble bien tordue.
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