Ca y est, j'ai réussi à accrocher le chaland (ou pas).
Donc, le grand écrivain de essèfe belge dont je parle est un poète, et il s'appelle Henri Michaux (et un grand classique à rajouter au fandom, un).
Un poète dont l'interêt science-fictif a le mértite d'être multiple.
Henri Michaux, on peut d'abord le voir comme un Serge Burssolo de la littgen (oui, moi aussi, comme jp the z sur le fil de la Route, je peux faire carrière comme rédacteur de 4ème de couv').
En effet, j'avoue avoir rarement une aussi vertigineuse représentation oniritque de la monsutruosité, depuis le terrifiant "Les animaux fantastique" jusqu'aux monstres de Epreuves, exoricsmes , en passant par les difficilement imaginables Meidosems.
Evidemment, il serait fastidieux de dénombrer les textes à l'interêt dickien. Michaux, précurseur de Willima.S.Burroughs ?
On peut aussi se pencher sur ses voyages imaginaires, tels ceux regroupés dans Ailleurs, ou les descriptions de faune et de flore dans La nuit remue. Ces dernières, avec les descritpions de civilisations à l'étrangeté subtile de "Voyage en grande Garabagne" dans Ailleux, par exemple, ferait pâlir de jalousie bien des auteurs de Plantet opera.
L'un des textes les plus science-fictif est sans doute le dystopique "Nouvelle de l'étranger", soliloque angoissant d'une entitié collective surveillant et manipulant un peuple.
On peut aussi trouver des résonnances très lovecraftiennes dans le tout aussi angoissant "L'espace des ombres", descritpions assez vertigineuse du monde des morts.
Bref, tous ceux qui sont curieux de voitr les grands messieurs de la littgen jouer en tout fair play le jeu de la essèfe, n'hésitez pas !
Soslan