Lu.
Pas mal, j'aime bien l'idée des Volcryns qui sous-tend le récit (on voit où s'est nourri Peter Watts)... par contre, Martin a heureusement progressé dans son écriture depuis, parce que niveau personnages, c'est carton, et les descriptions, surtout dans le premier tiers, mon dieu, sont d'un monotone (c'était un homme grand, moche, etc., c'était un bidule, grand moche, etc, c'était une femme au physique gnagnagna, etc)... tout comme la progression du récit, limite assommante par moments.
Néanmoins, j'ai passé un moment agréable, avec mention bien pour le capitaine du vaisseau qui, dans le premier tiers, sauve les meubles et nous permet de ne pas lâcher le bouquin.

Thomas Geha