Je viens de finir le second recueil, Notre-Dame aux écailles, et j'ai encore plus apprécié cette lecture-ci, je sais pas si c'est les textes qui me parlent plus ou le fait que je sois familier avec le style de Mélanie après la découverte serpentinesque.
Le Train de nuit m'a filé le vertige, Villa Rosalie m'a rappelé les meilleurs délires surréalistes de Francis Berthelot, Fantômes d'épingle m'a presque arraché des larmes...et je pourrais trouver de quoi m'épancher sur presque chaque nouvelle de ces deux recueils, mais je vais m'arrêter là.
Soslan