K.W. Jeter fan de littérature victorienne

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Le magazine Locus a fait une interview de K.W.Jeter dans laquelle il revient sur sa période steampunk et surtout sur son goût de la littérature victorienne. 
"Quand j'ai écrit Morlock Night (Nde : publié en 1979 et inédit en français) je n'avais pas voyagé en Angleterre.
 
Finalement avant d'écrire Machines Infernales (NDE : publié en 1987), j'ai pu m'y rendre et me rendre compte de tous les points sur lesquels j'avais eu tord. Mais fort heureusement il y en avait quelques-uns sur lesquels j'avais raison.
 
En termes d'influences, j'ai toujours été une personne âgée (même quand j'étais jeune) et je lis beaucoup de littérature victorienne, évidemment des auteurs comme Dickens, mais aussi des gens plus obscurs, comme George Gissing, un écrivain ami de HG Wells. C'est tout simplement l'auteur le plus sombre que vous ne pourrez jamais imaginer. Il a de nombreux livres que je suis content d'avoir lu mais que je ne relirai jamais parce qu'ils sont bien trop déprimants. 

Il y avait aussi de grands auteurs de romans policiers victoriens comme Harrison Ainsworth, connu pour son roman Rookwood. Il était le Stephen King de son temps avec des thrillers palpitants. Je recommande toujours aux gens de le lire... ".
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