OWNI a mis en ligne un article sur le thème "La ville volante, une utopie dégénérescente ?"
C’est une tradition dans les médias : chaque inauguration d’un gratte-ciel, comme la Tour First la semaine dernière, est l’occasion de rappeler l’éternelle quête de hauteur de l’homo urbanus, depuis Babel jusqu’à Dubaï. Et si les gratte-ciels sont le versant “réalisé” de ce syndrome d’Icare, la figure de la “cité volante” en est le pendant imaginaire et onirique. La ville volante jouit ainsi d’une belle présence dans les projets architecturaux du XXe siècle, aux côtés des autres grands archétypes urbains que sont la ville mobile, la ville flottante et la ville fertile (décortiquée la semaine dernière). Fortement relayés dans des médias grand public grâce à leurs visuels séducteurs flattant les fantasmes de l’Homme-oiseau, les projets de ville volante sont ainsi bien inscrits dans l’imaginaire urbain collectif. Et c’est bien ça le souci.
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