Les parutions d'avril 2016 : Helios

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L'Héritière de Jeanne-A DEBATS
 
Je m’appelle Agnès Cleyre et je suis orpheline. De ma mère sorcière, j’ai hérité le talent de voir les fantômes. Une malédiction plus qu’un don, qui m’a obligée à vivre recluse, à l’abri de la violence des sentiments des morts.
Mais depuis le jour où mon oncle notaire m’a prise sous son aile, ma vie a changé. Contrairement aux apparences, le quotidien de l’étude qu’il dirige n’est pas de tout repos : vampires, loups-garous, sirènes… À croire que tout l’AlterMonde a une succession à gérer. Moi qui voulais de l’action, je ne vais pas être déçue !
 
Distinguée dès la publication de son premier récit, La Vieille Anglaise et le continent (2008), par le Grand Prix de l’Imaginaire de la novella, Jeanne-A Debats est devenue depuis l’une des voix les plus importantes de l’imaginaire français. Elle retrouve ici l’univers de Métaphysique du vampire (Hélios), où l’urban fantasy se teinte d’une touche de romance.
 

Rite de passage d'Alexei Panshin
 
Mon Univers est un vaisseau...
 
Un des grands vaisseaux qui ont quitté la Terre, jadis, avant qu’elle explose et que les hommes se dispersent entre les mondes des étoiles. J’ai 12 ans et comme je suis encore une petite fille, je m’amuse à passer d’un niveau à l’autre par les conduits d’aération. Tout en bas, au fond du Vaisseau, il y a les machines, la Technique. Au 3e Niveau, il y a un soleil artificiel, mais les prés sont vrais, et les oiseaux et les lapins aussi : c’est un coin de la Terre que nos ancêtres ont reconstitué là pour ne pas perdre ce qui fait encore de nous des humains.
 
Et, pour rester humains et parce qu’il nous faut être forts, nous avons une règle de sélection à laquelle chacun doit se soumettre. Chacun, au seuil de l’adolescence, doit affronter seul une planète sauvage. Bientôt, ce sera mon tour...
 
Roman “culte” d’un auteur rare, Alexei Panshin (né en 1940), Rite de passage est un roman d’apprentissage, une autobiographie au sein des étoiles : celle d’une jeune fille élevée dans le monde clos d’un “vaisseau générationnel”. Une œuvre sensible et fascinante, qui s’adresse à tous les âges.
 
« Panshin écrit avec vigueur, charme, malice et le pouvoir d’un conteur né. » (Robert Silverberg) 
 
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