Les parutions de janvier 2016 : Les Moutons Electriques

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Techno faerie de Sara Doke

Les fées existent, bien sûr, et elles sont de retour !
Les fées ont cessé de se cacher des hommes : elles sont revenues et bon an mal an l’univers de la Faerie s’est intégré à la société technologique. Depuis les premiers contacts d’enfants-fae avec la civilisation de l’automobile jusqu’aux premiers voyages spatiaux, ce livre conte l’histoire d’une évolution différente de notre monde.

L’auteur, Sara Doke, vit à Bruxelles et est traductrice. La poésie puissante de son inspiration, l’originalité de sa vision d’un monde soudain enrichi des faes, sont saisissantes.
Avec des documents, des fiches couleur sur les 88 principales faes et de nombreuses illustrations, par Bigot, Booth, Calvo, Cardinet, Caza, Ellyum, Fructus, Gestin, Jozelon, Larme, Malvesin, Mandy, Muylle, Nuncq, Tag, Verbooren, Zandr et Zariel.

Le retour des fées, dans un livre d’exception.
 

Kallocaïne de Karin Boye trad. Leo Dhayer
 
Dans une société où la surveillance de tous, sous l’œil vigilant de la police, est l’affaire de chacun, le chimiste Leo Kall met au point un sérum de vérité qui offre à l’État Mondial l’outil de contrôle total qui lui manquait. En privant l’individu de son dernier jardin secret, la kallocaïne permet de débusquer les rêves de liberté que continuent d’entretenir de rares citoyens. Elle permettra également à son inventeur de surmonter, au prix d’un viol psychique, une crise personnelle qui lui fera remettre en cause nombre de ses certitudes. Et si la mystérieuse cité fondée sur la confiance à laquelle aspirent les derniers résistants n’était pas qu’un rêve ?

On considère Kallocaïne, publié en 1940 en Suède, comme l’une des quatre principales dystopies du XXe siècle avec Nous autres (Zamiatine, 1920), Le Meilleur des mondes (Huxley, 1932), et 1984 (Orwell, 1949).

Nouvelle traduction intégrale. Traduction du suédois par Leo Dhayer
 
 
Zigomar Tome 1 de Léon Sazie
 
Le tout Paris est en effervescence, la Une des journaux est dans toutes les têtes, la nouvelle se répand comme une traînée de poudre : on a assassiné le banquier Montreil ! Montreil ! L’un des acteurs les plus éminents de la haute société parisienne.
Devant le drame, c’est Paulin Broquet, l’estimé agent de la Sûreté, qui prend l’enquête en mains. Mais il est des questions dont nul ne voudrait avoir la réponse. Car ce matin n’est pas qu’un sordide fait divers, c’est un commencement. C’est l’instant où le mal étire ses ailes, le moment où Zigomar, le maître invisible, sort de l’ombre et dévoile au grand jour son génie criminel. Et des hôtels particuliers les plus huppés aux égouts de la capitale, nul ne sera à l’abri. Car ce sont la mort et la maladie qui marchent sur les pas de Zigomar.
C’est une parution importante que ce Zigomar de Léon Sazie (1862-1939). Une erreur corrigée, pourrait-on dire. Le génie du mal, qui précédera le Fantômas de Souvestre et Allain de quelques mois, fit frémir les lecteurs 164 épisodes durant dans le journal Le Matin en 1910. Jamais réédité depuis la première moitié du vingtième siècle, c’est une portion importante de la littérature populaire qui est remise à sa juste place : à la disposition des lecteurs.
Avec un cahier de 8 pages couleur reproduisant des couvertures anciennes.
 
 
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