Elbakin a mis en ligne un article de Claire Couturier qui travaille pour Mnémos. Son titre : Mnémos et la promotion côté éditeur. Il
se lit ici.
Extrait :
"A coté de la comm’ « réelle », il y a aussi la comm’ sur internet qui est loin d’être négligeable : nos propres outils, à Mnémos, sont Facebook, Twitter, et enfin, notre propre site, tout nouveau depuis deux mois ! Notre site sert de base de données, de références où tous les titres, avec toutes leurs couvertures, figurent. Les libraires apprécient un site tenu à jour, car cela leur évite de nous appeler pour demander un renseignement. Mais ce site n’est pas qu’un outil professionnel : nous l’avons voulu aussi attractif pour nos lecteurs, avec une actualité qui change régulièrement, pour que les fans trouvent l’info à la source : nous annonçons donc les dédicaces à venir, nous faisons des comptes-rendus d’évènements avec des photos, nous mettons en lien les diverses interviews de nos auteurs. De plus, nos biographies et portraits d’auteurs français sont inédits ! Notre compte Facebook permet, quant à lui, d’entretenir une certaine proximité avec les fans de littératures de l’imaginaire : nous y distillons des informations propres à la vie d’une maison d’édition, l’arrivée des livres, la réception d’une couv ou d’une illus, la présence d’un auteur ou d’un nouveau stagiaire. C’est un outil beaucoup moins officiel qui nous laisse plus de liberté, et que je trouve bien adapté à Mnémos : moins « formel », où l’on peut s’exclamer lorsque l’on est content de quelque chose, assez humain en somme, car il nous rapproche de nos lecteurs. Ce qui ne veut toutefois pas dire que nous pouvons répondre à tout et n’importe quoi ! Enfin, Twitter, nous permet de gazouiller les menues infos quotidiennes. C’est le plus bas degré de la formalité : Twitter dessine une sorte de toile de fond de Mnémos, où l’on raconte ce qui nous vient, lorsqu’on en a le temps. On y relaie les mêmes informations, en plus court, que sur Facebook. "