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La partie Badabing ! (« une dose de chantilly sur une bombe artisanale ») de la revue est divisée en quatre parties : Arborescence des réseaux « Mets les doigts dans la prise » : nouvelles pratiques du Net (transmedia, data-journalisme, gamification, géo-localisation) et des outils inventés par les hommes pour remplacer le silex (PowerPoint, FourSquare, Spotify). Echos de la rue « Jette pas ton papier par terre » : interview de légendes urbaines (sans-abris, taxis, BAC). 3 artistes, 3 cartes blanches « Fais la chose bien » : portfolio photo, bande dessinée et texte libre. Le queer c’est chic « Mange tes chips salope » : réflexions sur le genre, le cul et le reste (burlesque, Guillaume Dustan, porno). La partie Le Majeur (« revue ravissante pour jeunes gens graciles »), comme c’est commode, est aussi divisée en quatre parties : Entretiens : longues conversations avec des personnalités que le lecteur moyen de Télérama qualifierait de « hautes en couleurs » (Me. Jacques Vergès, M. Marc-Édouard Nabe, S.A.I. Michel Efetariade) s’il en parlait lors d’un brunch dominical. Articles : portés sur des pans d’histoire ou de sociologie que la France s’efforce d’oublier, ils ont pour l’instant porté sur la Françafrique, le fascisme dans la mode, M. Jacques Foccart et son Altesse Sérénissime Jacques Chirac. Art de vivre : parce qu’un homme ne vaut souvent que par l’impeccable propreté de ses bottines, Le Majeur se tourne vers les loisirs auxquels il convient de s’abandonner (duel, fléchard, whist, cornemuse). Portraits : témoins des travers et joies de nos temps, ces hommes et femmes voient leur portrait effectué par la rédaction (Lord Simon Fraser d’un côté, les Damnés de l’autre : MM. Attali, Soral et Chalghoumi). |