La Mère des ondes et des crues, Une enquête de N'a-Qu'un-Œil, chamane-détective, 2 de Tim Rey
Au retour du Jamboree annuel des clans, le chamane N’a-Qu’un-Œil et son apprenti Queue-d’Aurochs ont fait halte au bivouac d’été d’un clan ami.
C’est là qu’une nuit d’orage, Queue-d’Aurochs assassine sans motif apparent un de leurs hôtes, sous les yeux de vingt personnes. Pour tous, sa culpabilité ne fait aucun doute. Sauf pour N’a-Qu’un-Œil, qui subodore d’emblée une machination. Mais cela, il va encore falloir le prouver... d’autant que, très vite, d’autres meurtres sont imputés au jeune homme. N’a-Qu’un-Œil n’a que deux jours pour disculper son disciple, tandis que plane l’ombre de la déesse tutélaire du clan, la Mère des ondes et des crues.
Après Les Souffles ne laissent pas de traces, cette deuxième enquête du chamane-détective nous ouvre une nouvelle fenêtre sur cette période méconnue de l’histoire humaine, l’Aurignacien, il y a plus de 30 millénaires.
Oniromaque de Jacques Boireau colelction poche « Hélios »,
La Ligue Hanséatique, forte de ses zeppelins bombardeurs, s’est emparée de toute l’Europe du Nord, dont la Francie. Elle aimerait désormais jeter son dévolu sur l’Occitanie.
En Grèce, un putsch place des colonels au pouvoir. Des brigades internationales se créent pour contrer les militaires et rétablir la démocratie. Parmi ces volontaires, voici Jordi, mi-occitan mi-francien, Dino Buzzati, Carlos Saura, Tita Piaz ou encore Yannis Ritsos. Arrivés en Macédoine, une étrange surprise les attend : ils ne vont pas combattre directement, mais entrer à tour de rôle dans une machine, l’oniromaque, qui peut rendre les rêves effectifs et changer ainsi la réalité. Mais si le remède s’avérait pire que le mal ?
Jacques Boireau (1946-2011) fut un secret bien gardé des littératures françaises de l’imaginaire. Révélé en 1976 dans la revue Univers, il poursuivit une discrète carrière de nouvelliste, seulement reconnue en 1980 par un prix Rosny aîné. Il est grand temps d’enfin découvrir cette forte plume, spécialiste des uchronies douces-amères.