Thomas Day est à la fois auteur de fantasy et directeur de collection aux Éditions Denoël et Lune d'Encre. Il est également membre de la revue
Bifrost publiée aux Éditions le Bélial. Son dernier roman,
Dragon, est paru en 2016 chez ces derniers.
En tant qu'éditeur : sur Lunes d'encre. Je mets la barre haut : je veux faire mieux en 2017 qu'en 2016. C'est pas gagné !
En tant qu'auteur, je travaille sur un polar asiatique, dans la même veine que Dragon. Pour le moment, c'est du travail surtout « mental ». Je réfléchis aux personnages principaux et je fais la liste des endroits où il faut que je fasse des repérages (l'automne prochain, après la fin de la période de deuil thaïlandaise, j'espère). Je change un peu de coin, ça se passera beaucoup en Birmanie.
Pour Bifrost, je finis un très gros article sur Richard Matheson et les maisons hantées. Ça fait au moins deux mois que je suis dessus ; j'ai complètement sous-estimé la masse de travail (et de lectures) qu'un tel article impliquait.
En tant que scénariste de BD, je suis sur Wika, le tome 3. C'est bien avancé ; c'est pas facile. J'ai plusieurs autres projets « en développement ». Pour tout dire : je fais un peu n'importe quoi, sur la lancée de mon enthousiasme « la BD c'est génial ! C'est ce que j'ai toujours voulu faire » j'écris des scénarios sans illustrateur et après je demande à mon éditeur chez Glénat, Benoit Cousin (un saint homme, assurément), de me trouver des génies des pinceaux et autres plumes. C'est pas forcément dans ce sens-là qu'il faut travailler !
J'ai fini ma part sur Juste un peu de cendres, mon comics soft apocalypse avec Aurélien Police (qui lui aussi a presque fini, d'ailleurs), et je prépare déjà nos projets suivants (dont je n'ai pas encore le droit de parler).