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Le Parisien : La lecture de «May le monde» n'est pas évidente de premier abord. Vous inventez tout un vocabulaire. Vous n'avez pas craint de rebuter le lecteur ? Michel Jeury : J'avoue que j'ai eu un petit peu peur. C'est pour cela que j'ai injecté, après coup, le personnage du Dr. Goldberg. Il fallait quelqu'un comme lui pour expliquer ce qui se passe. Mon but était de m'éloigner le plus possible de la littérature ordinaire et j'ai toujours pensé que, si l'on traire d'un monde nouveau, il faut aussi avoir un langage nouv |