Alberto Varanda est en
interview ici pour son album jeunesse Petit Pierrot.
Extrait :
Trouvez-vous qu'il n'y a pas assez de place accordée à l'imaginaire sur les bancs de l'école, dans la vie ?
Alberto Varanda : Pour certains, rêver est assimilé à de l’inaction et de la perte de temps. Notre société étant ultra compétitive, le temps étant de l’argent, l’imaginaire pourrait ressembler à une anomalie.
Mais je pense qu’il doit toujours avoir une petite place à l’école pour le rêve, surtout sur les bancs de l’école, parce que l’imaginaire me semble important, voire salutaire aujourd’hui.
A quand le cercle des rêveurs disparus ?
