L’Hôtel Drouot proposera une vente autour de la science fiction intitulée "ZOOM SUR LA SF De Metropolis à Star Wars" le 6 octobre prochain.
Il s'agira d'une sélection des photos (des tirages originaux) consacrées au cinéma de science-fiction. Ils seront visibles dans le cadre de la Nuit Blanche le 4 octobre le temps d'une expo publique de quelques heures (de 11h à 2h du matin).
Il s'agira d'une sélection des photos (des tirages originaux) consacrées au cinéma de science-fiction. Ils seront visibles dans le cadre de la Nuit Blanche le 4 octobre le temps d'une expo publique de quelques heures (de 11h à 2h du matin).
Parmi les films : Metropolis, Les Survivants de l'Infini, Planète Interdite, le Satellite mystérieux, Objectif Terre, mission apocalypse, 2001 l'Odyssée de l'espace, Superman et Star Wars.
Voici tout le communiqué.
La maison Kapandji Morhange, qui fête cette année ses dix ans, fait sa rentrée avec une vente dédiée à la science-fiction, alliant photographie et mobilier design. Dans le cadre de la prochaine Nuit Blanche, le 4 octobre, la vente fera l’objet d’une exposition publique à l’Hôtel Drouot de 11 h à 2 h du matin.
La sélection photo est entièrement consacrée au cinéma de science-fiction. Composée d’une centaine de tirages originaux, elle retrace l’évolution du genre à travers ses titres les plus emblématiques. Les héros des grands classiques du septième art y côtoient les surhommes de la galaxie blockbuster et les créatures bizarroïdes de la série B. Ceux-ci ont en commun d’être devenus cultes – comme les films dont ils sont issus.
Une mythologie singulière apparaît : super-héros surgis du quotidien et robots allumés, populations familières de planètes lointaines ou d’hostiles galaxies, bébêtes venues de l’espace et monstres kitsch...
De plus, ces photos de plateau témoignent de l’extraordinaire inventivité des productions cinématographiques à élaborer des architectures inédites, des accessoires délirants ou des looks insensés qui n’ont pas manqué d’inspirer bon nombre de créateurs et de designers.
L’ensemble des clichés souligne, non sans humour, l’éternelle fascination du cinéma à spéculer sur l’avenir. À l’inverse, on peut aussi percevoir cet ensemble comme une machine à explorer le temps, une invitation
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