Le forum d'ActuSF.com

Ce qui est déplorable avec l'utilisation d'imaginaire comme substantif est qu'il n'a pas d'adjectif correspondant, mais que l'adjectif dont il est issu est un faux ami. Un roman appartenant à "l'imaginaire" n'est pas un roman imaginaire ; son histoire n'est pas imaginaire ; les aventures racontées n...

La série est plutôt intelligente, bien menée, avec des épisodes nettement moins bons que d'autres (j'ai l'impression qu'ils ont changé de scénario d'ensemble vers le 10-11e épisode, et cela fait un passage à vide). Une grande partie des situations et intrigues est à prendre au deuxième degré, à mon ...

Il n'y a pas beaucoup d'action ni de rebondissements, mais le style clair des deux auteurs m'avait aidé à dévorer ce livre. J'ai gardé de la fin des impressions frappantes, mais si tu décroches au milieu, la suite ne devrait pas te passionner.

et les vampires, alors ? cela fait 30 000 ans qu'ils sont éteints, et on en parle encore.

gutboy a écrit :Allez, tant pis pour les latinistes: Dulce et decorum est pro patria reproducti

je suggère plutôt

Dulce et decorum est pro patria pueros gignere.

HS/ Les effets spéciaux de la 1ère trilogie de Star Wars, même datés (et impossibles en soi), produisent un effet de réel - sentiment d'inertie des grands vaisseaux, célérité concevable des petits ; combats au sabre laser à vitesse et capacité humaine ; droïds soumis à réparation, fragiles... tandis...

OK, merci pour les précisions. il n'empêche que ça me demeure inexplicable.

Je reformule :

Je n'ai pas encore vu de sujet dans lequel les adorateurs d'Asimov menaçaient de brûler ses contempteurs. Pourquoi Van Vogt cristallise-t-il l'hostilité et la ferveur?

Je ne comprends pas ce qui fait débat (mystère pour moi depuis que je fréquente ces forums). Van Vogt fait partie du panthéon, il a fait de l'excellent, du moyen et du mauvais, comme n'importe lequel des autres auteurs de SF. Si certains n'aiment pas du tout, qu'ils n'en dégoûtent pas les autres... ...

ça paraît très enthousiasmant, de fait.

Je suis plutôt dans la lignée de Razheem et Julien d'Hem. Il faut reconnaitre au réalisateur un certain talent pour représenter les catastrophes ; il y a du goût dans ses explosions ; au total, on ne s'ennuie pas, mais essentiellement parce qu'on se laisse porter, en espérant une révélation finale.....

Cela dit, si l'usurpation est si facile, il est alors évident que le système de répression envisagé va s'écrouler en quelques semaines... je ne comprends pas bien, alors, où ses promoteurs (que j'ai du mal à prendre pour des incapables complets) veulent en venir. Oncle Joe Le système de répression ...

excellent. Merci pour le lien Erion.

Et par ailleurs, les questions de monde fictionnel etc n'invalident ni ne s'opposent à une approche en terme d'histoire littéraire, d'histoire des thèmes et autres.
Il faudrait prendre le temps ici de dessiner clairement le champ d'application de ces différents outils d'analyse.

Je suis assez d'accord avec bormandg, là. le problème n'est pas de définir la SF (entreprise fort ardue à laquelle se sont essayés de plus forts que moi), c'est-à-dire le type de textes écrit à partir des années 30 aux EU, puis développé dans des tas de directions différentes sous cette vague appel...