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Donc, résumons, le juge peut se mêler des méthodes du plombier, du chirurgien, du pâtissier, de milliers de professions, et pas de l'historien ? Pas du chercheur en histoire, en tout cas (je me place ici sur le plan de l'épistémologie, non du droit). Les pratiques professionnelles du pâtissier, le ...

dracosolis a écrit :

Caliban a écrit :Madiran, ou jurançon pour les dames. Mais pacherenc, vraiment ?

t'en as bu ?

Je suis de Lembeye, à la base...

dracosolis a écrit :bon les plaisirs du foie gras et du pacherenc sont à jamais inépuisables

Pfff... Madiran, ou jurançon pour les dames. Mais pacherenc, vraiment ?

MF a écrit :La signature ci-dessous...

... est susceptible d'induire des réponses de la même eau ?

J'ai eu droit à des remontrances sur la forme — d'ailleurs justifiées, Olivier Girard est un vrai éditeur — mais jamais sur le fond, alors même que mes critiques tendent à être assez contrastées. Rarement agréable sur l'instant, quel que soit le type de texte, presque toujours profitable à plus long...

Les auteurs qui ont revendiqué l'influence de Heinlein (...) sont nombreux. Et la remarque sur la foi en l'adaptabilité de l'humanité explique pourquoi j'ai exécré le roman de Spider Robinson supposé être un roman posthume de Heinlein Benford lui-même reconnaît sans difficulté l'influence majeure d...

Nébal a écrit :Et pis le "bon sens", hein...

La chose du monde la mieux partagée !

une petite question : de blogs en sites, on voit des couvertures d'ouvrages reproduites pour les chroniques qui en sont fait. Faut-il l'autorisation de l'éditeur pour reproduire la couverture qui est, à mon sens, protégée. Tu peux sans problème reproduire une couverture : cela relève de l'informati...

mais soit des comportements permettant à l'expérience de pensée de se dérouler c'est ni plus ni moins que "j'en ai rien a foutre de mes persos, qu'ils se soumette à l'histoire" et pour moi, c'est pas loin d'un très gros défaut Certes. Mais ni plus, ni moins que "j'en ai rien à foutre des contrainte...

Ce que je veux dire aussi, mais apparemment ça n'intéresse pas grand monde, c'est qu'un pulp de SF, puis une revue de SF, c'est un support éditorial tout à fait particulier, par rapport à ce que l'on trouvait en France. Il me semble que tout le monde est d'accord avec ça. Des gens motivés l'ont uti...

Ma réponse est toujours la même : des revues paraissant chaque mois, avec des textes nombreux (le problème de la qualité se résout avec le temps), des éditoriaux, une politique éditoirale volontarise, un véritable contact avec les 9 lecteurs repérés par Gérard, un courrier des lecteur dense (rédigé...

A ce propos, vous comptez y participer ? A titre personnel ? Si d'aventure j'avais une idée compatible avec un traitement court, pourquoi pas. Ca a pu m'arriver. Mais je suis plutôt bavard, amateur de hard science fiction , et la physique de l'eau n'est pas simple : il me faudrait pas mal d'espace ...

Certains auteurs s'en sont très bien sortis avec des contraintes drastiques de longueur. Regardez Frederic Brown par ex... Et La Plus longue histoire de science-fiction jamais contée ne doit pas dépasser 3000 signes... Espérons donc avec vous que le concours verra émerger un nouveau Clarke, ou un n...

Fuzzyraptor a écrit : Un calibrage court permet également d'intéresser les étudiants, qui se sentent
moins contraints, en pleines révisions, de rédiger un très long texte.

Le jury aurait peur que les élèves-ingénieurs des Techniques Avancées ne maîtrisent pas
le concept de limite supérieure ?

C'est Caliban qui est parti sur des "si". C'est lui le coupable ! Je ne crois pas un instant à la valeur des expériences de pensée dans ces domaines, sauf pour écrire des romans. Il n'y a pas à partir sur des "si". La France n'a pas été capable de produire de la SF du type de celle qui arrive chez ...