Le forum d'ActuSF.com

Moi, c'était l'homme qui se cachait sous le lit et qui attendait qu'on s'endorme...

Sinon, y aller ? Aucun intérêt.

D'ailleurs, je n'y vais pas.
Mais ce n'est pas pour cette raison...

Votre cruauté me laisse sans voix.

Le problème est de savoir à qui tu donnes ta "voix"...

Oui, mais la pauvreté c'est nul et la méchanceté, c'est méchant, et ça, j'aimerais bien qu'on le dise plus souvent !

Ouh là !
Ce site devient vraiment trop engagé !

la pollution, c'est mal...

Il fallait bien que quelqu'un ose enfin le dire !

Hum, bye bye...

Ca approche, ça approche. Le Prestige sort le 20 octobre au ciné.

Ah ?
Moi, j'ai une autre date

Alice et June - Indochine

Et du coup il a fallu attendre pas mal de temps avant de voir un autre film adapté de Dick. Je ne sais pas de quand date exactement Total Recall...

Hop !
Et la manie d'adapter Dick date d'avant Minority report

On ne vous dérange pas trop j'espère Gino et Duncan1 ?

j'avais été frappé de voir à quel point le culte de Dick était un phénomène français.

Et pourtant,
la moitié des films de sf Etats-uniens s'inspirent de Dick.
Comment peut-on expliquer cela ?

Il ne faut pas être timide et s'inscrire.

kibu fait du prosélytisme !
M'enfin ! Il ne te vient pas à l'idée qu'on n'a pas FORCEMENT envie de s'inscrire au cafard cosmique pour discuter avec toi ?

C'est lent, on comprends tout ce qui va se passer

D'accord, mais c'est pas un thriller non plus.
Et puis "TOUT", faut pas pousser non plus...

que j'avais bien 15 ans de retard en musique

Moi, pire encore : Coffee cold de Galt Mac Dermot, je ne m'en lasse pas.

Désolée Nick

Dans "En attendant l'orage", je ne les trouve pas très attachants (même si je me suis sentie plus proche de certains après plusieurs lectures) mais ils ont un côté "immédiat", très réel, qui donne l'impression de les connaître. Pendant une bonne partie du bouquin, j'ai progressivement fini par déte...

Roland C. Wagner a écrit :Oui.

Oui, mais, bon... Hum !

En vérifiant mes Omnibus (cycle Berseker, Rohel), j'ai constaté qu'ils avaient parfois plus de 1000 pages et pouvaient être lus sans la moindre détérioration. Sachant que les llivres de David Weber font entre 800 et 900 pages en anglais, il était possible de les éditer en un seul volume chez L'Atal...