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Nébal a écrit :Un bon basketteur est un basketteur mort.

C'est une attitude sectaire: pourquoi se limiter aux basketteurs ?

Sans parler de la très forte mortalité des personnages secondaires.

Houla, le cyberpunk a globalement disparu parce qu'on vit dedans. C'est peut-etre le sous-genre de la sf qui a été le plus vite rattrapé par la réalité. Et le cyberpunk n'est pas forcément dépressif, par exemple Stephenson.

Je ne suis pas trop d'accord avec tout ca: les romans de RCW sont humoristiques, mais sont-ils optimistes pour autant ? Ce sont deux choses différentes.

Hum, ce n'est pas toi qui lit les prequelles de dune ?

Lensman a écrit :la présence du sigle "TM" accolé au nom de Howard en COUVERTURE du volume!!!

Vous retardez, cher Oncle Joe, c'était déjà le cas sur les 2 tomes de Conan.

Par Crom! (c)(TM)(r)

As tu lu "gloriana" et "le chien de guerre et la douleur du monde" ?

orcusnf a écrit :le chaos final, c'est pas l'autre nom de ceux de la jungle ?

"Ces hommes dans la jungle" en VF, "the men in the jungle" en VO.

Par contre, une forme de vie sans oxygène est-elle réaliste ? Parce que je vois mal de l'oxygène à coté d'un lac de méthane (je me trompe peut-etre).

J'ai lu la plupart des romans de Spinrad parus en france, il n'y a guère que Deux ex qui m'ait déplue (en plus de Bleue comme une orange evidemment).

Pour le reste, de "jack barron" jusqu'à "en direct", il n'y a quasiment que de l'excellent.

"bleue comme une orange", de Norman Spinrad. Une rencontre scientifique sur le réchauffement climatique tourne à l'espionnage d'operette entre entreprises du secteur climatique, bandits honorables, sibériens richissimes et scientifiques plus ou moins dérangés. C'est plein de bonnes idées tout à fait...

Je ne crois pas que Roland Wagner s'était présenté comme porte-parole de la SF pour répondre à machinchose dans le monde diplo.

"le grand livre", connie willis. Pour faire court: une historienne envoyée ay XIVeme sicle se retrouve en pleine peste noire pendant que l'équipe chargée de la ramener au XXIeme se retrouve coincée dans une variante de grippe aviaire. Bon, j'ai un problème avec ce livre: on y trouve un mélange d'hum...

Je crois bien avoir vu ce téléfilm à l'époque, il ne m'avait pas laissé de mauvais souvenirs, mais rien de remarquable non plus.

C'est par contre une bonne occasion de relire Andrevon.

Hé bé, si avec ca il continue à lire de la SF...