La prière d'Audubon - Isaka Kôtarô
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La prière d'Audubon - Isaka Kôtarô
Itô, jeune informaticien au chômage, se réveille un jour sur une île étrange : entre un épouvantail qui parle, une petite fille qui écoute les battements de son coeur, les surprises ne manquent pas... sans compter qu'on lui confie la mission de découvrir le responsable d'un meurtre commis peu de temps auparavant !
Ce roman décalé est vraiment difficile à lâcher : il m'a rappelé ceux de Murakami Haruki (notamment la fin des temps,pour l'atmosphère) avec un humour très personnel. Le roman est plutôt considéré comme un polar au Japon (et c'est le cas, l'auteur en profite d'ailleurs pour jouer avec les codes du roman de détective à la Sherlock Holmes ou Hercule Poirot) mais touche aussi au fantastique avec une pointe de SF (en forçant un peu le trait).
Un excellent roman pour ma part ! Si Murakami Haruki et Jasper Fforde étaient une seule et même personne, elle aurait écrit ce roman (enfin c'est ce que j'imagine...) !
Ce roman décalé est vraiment difficile à lâcher : il m'a rappelé ceux de Murakami Haruki (notamment la fin des temps,pour l'atmosphère) avec un humour très personnel. Le roman est plutôt considéré comme un polar au Japon (et c'est le cas, l'auteur en profite d'ailleurs pour jouer avec les codes du roman de détective à la Sherlock Holmes ou Hercule Poirot) mais touche aussi au fantastique avec une pointe de SF (en forçant un peu le trait).
Un excellent roman pour ma part ! Si Murakami Haruki et Jasper Fforde étaient une seule et même personne, elle aurait écrit ce roman (enfin c'est ce que j'imagine...) !
Je ne ferai pas référence aux mêmes auteurs que toi (encore que Murakami...), mais j'ai également particulièrement apprécié ce roman. Polar surréel doté d'un des méchants les plus glaçants qu'il m'ait été donné de rencontrer en littérature, ce roman joue avec talent sur une atmosphère particulière, à mi-chemin du conte fantastique et du roman d'initiation.
Dans une veine proche, quoique plus mélancolique, je signale Le musée du silence de Yoko Ogawa.
Dans une veine proche, quoique plus mélancolique, je signale Le musée du silence de Yoko Ogawa.