Dreamericana, de Fabrice Colin
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Dreamericana, de Fabrice Colin
Jérôme
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
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- dracosolis
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Certes. Mais des tirets – semi-cadratins, de préférence – eussent été de meilleur aloi.
Les beaux livres, c’est aussi par ici : www.eons.fr
- dracosolis
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Ah ! J'ai vraiment adoré ce livre. Une première partie très dickienne, une seconde steampunk très cinématographique, en fait. Et, ce qui n'est pas habituel, un de mes froids ventricules a même tressailli au passage suivant (sans spolier, Erik retrouve Ana à Saint Petersbourg) : "comment va la vie, Erik Suncliff ?
Oh, fantasticule.
Je suis amoureux, je n'avais jamais cessé de l'être en vérité, et l'objet de mes désirs vient de me mettre dehors après que je lui ai révélé la teneur de ma mission, par ailleurs hautement confidentielle. A l'autre bout du pays, un président hologramme attend que son double réapparaisse et moi, moi qui tiens son sort entre mes mains, je suis assis sur les marches du théatre Marinski, mon manteau poudré de neige, tout au bord de l'abîme.
En plus, je viens de rater Mozart."
Ben si ça, en plus d'un vrai bon récit d'aventure, c'est pas de la littérature...
Oh, fantasticule.
Je suis amoureux, je n'avais jamais cessé de l'être en vérité, et l'objet de mes désirs vient de me mettre dehors après que je lui ai révélé la teneur de ma mission, par ailleurs hautement confidentielle. A l'autre bout du pays, un président hologramme attend que son double réapparaisse et moi, moi qui tiens son sort entre mes mains, je suis assis sur les marches du théatre Marinski, mon manteau poudré de neige, tout au bord de l'abîme.
En plus, je viens de rater Mozart."
Ben si ça, en plus d'un vrai bon récit d'aventure, c'est pas de la littérature...
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