Ouais, c'est mon cas. Un passage par les articles ou les ouvrages de vulgarisation genre Ciel et Espace, Hawkins ou Penrose, ou même Luminet et Nottale, ça aide pas mal aussi...Laurence a écrit :c'est lisible pour, disons, une lectrice passionnée de SF ex-cancre en math-physique
En fait l'anglais de Baxter est assez simple. Ce qui est compliqué c'est les concepts.Eric a écrit :Alors là, je dis respect ! Ça doit tout de même être assez coton.
Je trouve qu'il est les deux. Et c'est ce qui le rend intéressant: il prend des concepts pointus, parfois poussés, et il regarde comment les rendre "opérables".Eric a écrit :Il est fasciné par les détails de mise en œuvre, par les technologies, plus que par les idées ou les conceptions scientifiques de pointes.
Opérables au niveau de l'histoire: comment les personnages les exploitent.
Et opérables au niveau du roman lui-même: comment les utiliser pour en faire un roman. Clairement, moi c'est ce que j'aime chez lui mais c'est là qu'il peut-être considéré comme froid, les concepts scientifiques/leur mise en oeuvre technique sont les vrais héros de ces romans.