la question est : ai-je réussi à relancer le troll ? edit Roland l'a lancé avant moi grr

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Tu as tout fait raison, il-y a tellement de livre à lire... J'ai beaucoup de mal à sortir d'une série, même si je la trouve mauvaise, ou pas vraiment géniale. J'ai toujours envie d'en savoir plus et arrêter une série me laisse vraiment un gout d'inachevé !Lhisbei a écrit :En attendant c'est comme pour les séries télévisées... si je n'accroche pas aux deux premiers livres/épisodes je ne poursuis pas. Il me reste tellement de livre à lire/découvrir que je fais le choix de ne pas lire la suite de l'inquisiteur...
J'hésite pour ton exemple télévisuel: il n'est pas certain que Joss Whedon avait une arrière-pensée dès le départ (quoique l'idée qu'il n'a pas osé la mettre dans le projet initial parce qu'il n'aurait certainement pas obtenu son financement est loin d'être exclue).Roland C. Wagner a écrit : Je corrige donc ta phrase de départ :
Il y a des auteurs capables de faire apparaître leur projet global dès le premier volume (1), mais ils peuvent choisir de ne pas le faire.
(1) Ou la première saison, voir Buffy.
C'est loin d'être la seule série que je n'ai pas eu le courage de poursuivre d'autant plus que la fin de Mars la rouge m'a dérangé (s'il n'y avait pas de suite, ce serait une fin possible, mais là j'ai l'impression que le fil est coupé). Mais effectivement la lenteur davancement de l'histoire dans les oeuvres de KSR rend la reprise de la lecture difficile...Zarcania a écrit : La seule que j'ai laissé tomber : Mars la rouge, Mars la verte, Mars la bleue, pour être franc, je n'ai même pas finit Mars la Rouge... Pourtant je m'y suis repris à deux fois...
Zarcania
Pourtant j'avais repris depuis le début... Donc je peut vraiment dire que je n'ai pas du tout accroché, la sconde fois je suis tout de même allé plus loin que la première. Peut être que c'est un roman [une série] qui se lis en 42 fois ???bormandg a écrit : Mais effectivement la lenteur davancement de l'histoire dans les oeuvres de KSR rend la reprise de la lecture difficile...
Eymerich ne se contente pas de semer la terreur en son temps, il se balade aussi dans celui des autres, et ces allers-retours permettent à l’auteur d’élargir son propos à une dénonciation de toutes les dictatures : la Roumanie de Ceaucescu et l’Espagne de Franco rejoignent les feux du XIVe siècle. « Le mécanisme inquisitorial est ancien : posséder le cerveau plus que le corps. Il y a une permanence de l’horreur, de l’inquisition aux dictatures actuelles. Mais je ne prends pas parti : je m’intéresse plus à saisir un mécanisme qu’à attaquer un individu », déclare l'auteur.