A moins de se placer d'un point de vue résolument rinaldien (autrement dit de refuser toute entorse au code d'autosatisfaction académicanthropique et d'accepter que l'auteur de fiction peut parler d'autre chose que de son nombril sans écrire de la science-fiction-fantasy-échec de" l'écrivain), si on essaye ne serait-ce qu'un court instant de définir un substrat à la science-fiction (c.a.d. qu'on se réfère au positivisme scienfifique) ou à la fantasy (qui interdit la référence précédente, contrairement au fantastique qui l'accepte, mais prétend le mettre en défaut, science-fiction et fantasy n'ont de commun que les procédures de publication et le rejet de l'académicanthropisme rétrograde.Lucie a écrit :Si, si, c'est la même chose. Mais pas la mythologieLensman a écrit :C'est aussi mon avis. (Vieux troll des familles: la SF et la fantasy, ce n'est pas la même chose, même si etc, etc...)Lucie a écrit :Voui, enfin, c'est surtout "Faiseurs d'univers" qui est plus proche de ce qu'écrit Farmer que "hommes-dieux"Après, "cycle" ou "saga"... ou encore "série", c'est kif-kif ! Mais dans "faiseurs d'univers", il y a bien cette notion de technologie permettant de se fabriquer des univers de poche, à des lieues de toute mythologie (excepté celle que certains d'entre eux mettent en place pour gouverner leur création)
Oncle Joe![]()
signé : le troll extraterrestre avec un truc en plumes
Troll SF (à microprocesseur AMD et à programmation Linux)

