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Modérateurs : Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m
Walter M. MILLER Jr, Un cantique pour Leibowitz.
Une merveille, un vrai grand roman de science-fiction. Un classique qui n'a pas usurpé sa réputation...
Une merveille, un vrai grand roman de science-fiction. Un classique qui n'a pas usurpé sa réputation...
Hop : Cédric FERRAND, Wastburg
- dracosolis
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En effet.Nébal a écrit :Walter M. MILLER Jr, Un cantique pour Leibowitz.
Une merveille, un vrai grand roman de science-fiction. Un classique qui n'a pas usurpé sa réputation...
Par contre, oublie sa suite - L'héritage de saint Leibowitz -, c'est une daube.
Les beaux livres, c’est aussi par ici : www.eons.fr
- Eric
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Ben en fait... puisque tu en parles... ça fait partie de ces classiques de la SF qui m'ont toujours un peu emmerdé.Nébal a écrit :Walter M. MILLER Jr, Un cantique pour Leibowitz.
Une merveille, un vrai grand roman de science-fiction. Un classique qui n'a pas usurpé sa réputation...
Mais bon, c'est vraiment perso.
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.
M'enfin ? Bah pourquoi ? Je suis étonnement et curiosité dubitative... Nan, vraiment beaucoup aimé pour ma part.Eric a écrit :Ben en fait... puisque tu en parles... ça fait partie de ces classiques de la SF qui m'ont toujours un peu emmerdé.Nébal a écrit :Walter M. MILLER Jr, Un cantique pour Leibowitz.
Une merveille, un vrai grand roman de science-fiction. Un classique qui n'a pas usurpé sa réputation...
Mais bon, c'est vraiment perso.
Hop : Cédric FERRAND, Wastburg
En ce moment, je suis sur la suite du dernier Robert McCammon, à savoir "Le Visage du Mal", tome 2 du "Procès de la Sorcière". Tout petit déjà
, j'appréciais McCammon et sa capacité à changer constamment de registre, de passer du gros fantastique bourin (la majorité de sa production, par exemple : "Le secret de Bethany") au gros fantastique ludique (L'heure du loup), à la SF (Scorpion), puis au Thriller (Mary Terreur)... et toujours avec le même bonheur. J'ai tout lu de lui, et ça fait 10 ans que j'attendais qu'il sorte enfin de l'espèce de "retraite" littéraire qu'il s'était imposé. Ben j'ai bien fait d'attendre
. Le voilà dans le thriller historique, et vraiment, je suis emballé... C'est superbement écrit, plein de suspense, glauque à souhait, bref, parfait... Allez, j'y retourne... 



Zurglob, alias Sgroumpf, Graoumpf, HydreAuMiel, Kidordinn, Scorngluff, un jour il faudra que je songe à ne pas changer de pseudo et à utiliser le même sur tous les forums que je visite...
Salut,
Allez, un petit dernier des années 70 avant d'entamer Stephen Baxter et son Gravité.
Il s'agit donc de Jean et Doris Le May, Il était une voile parmi les étoiles, 1976, Paris, Fleuve Noir Anticipation.
Qu'on se le dise! Pour avoir un bon astronef, choisissez un astronef FRANCAIS! Oui, madame!
Le début de ce roman est franchement ridicule, pseudo intrigue d'espionnage, où un savant au nom improbable (Danne Bedanne), vend volontairement une de ses inventions à une multinationale pour pouvoir financer une invention autrement plus importante: un astronef qui serait d'une simplicité étonnant. Le ton très gaulliste de cette partie est limite pathétique, avec ce bon gouvernement français qui doit faire face à toute la puissance des Multinas et de leur dieu Dollar. Mais cela change heureusement assez vite lorsque l'action se déplace dans l'espace, qui semble tout de même bien être le milieu de prédilection de nos deux auteurs. Une course parmi les planètes du système solaire, mettant aux prises humains et ET, est l'occasion d'une vaste entreprise de propagande en vue de faciliter les contacts entre lesdits humains et lesdits ET. On a là au passage un bien belle réflexion sur le rôle de la propagande. Y a-t-il une bonne propagande, a-t-on le droit d'en faire, même pour une noble cause? C'est plutôt intéressant et réussi. Dommage que le style ne suive pas toujours. J'ai parfois souvent eu l'impression de lire un roman de Kazantsev, d'autant plus qu'au fil de l'histoire, il se créé une improbable Nouvelle Union Socialiste d'Eurasie.
A la lecture de ce roman, on peut d'ailleurs à une question que certains se posaient concernant l'orientation politique des auteurs: ils étaient gaullistes de Gauche.
A+
Patrice
Allez, un petit dernier des années 70 avant d'entamer Stephen Baxter et son Gravité.
Il s'agit donc de Jean et Doris Le May, Il était une voile parmi les étoiles, 1976, Paris, Fleuve Noir Anticipation.
Qu'on se le dise! Pour avoir un bon astronef, choisissez un astronef FRANCAIS! Oui, madame!
Le début de ce roman est franchement ridicule, pseudo intrigue d'espionnage, où un savant au nom improbable (Danne Bedanne), vend volontairement une de ses inventions à une multinationale pour pouvoir financer une invention autrement plus importante: un astronef qui serait d'une simplicité étonnant. Le ton très gaulliste de cette partie est limite pathétique, avec ce bon gouvernement français qui doit faire face à toute la puissance des Multinas et de leur dieu Dollar. Mais cela change heureusement assez vite lorsque l'action se déplace dans l'espace, qui semble tout de même bien être le milieu de prédilection de nos deux auteurs. Une course parmi les planètes du système solaire, mettant aux prises humains et ET, est l'occasion d'une vaste entreprise de propagande en vue de faciliter les contacts entre lesdits humains et lesdits ET. On a là au passage un bien belle réflexion sur le rôle de la propagande. Y a-t-il une bonne propagande, a-t-on le droit d'en faire, même pour une noble cause? C'est plutôt intéressant et réussi. Dommage que le style ne suive pas toujours. J'ai parfois souvent eu l'impression de lire un roman de Kazantsev, d'autant plus qu'au fil de l'histoire, il se créé une improbable Nouvelle Union Socialiste d'Eurasie.
A la lecture de ce roman, on peut d'ailleurs à une question que certains se posaient concernant l'orientation politique des auteurs: ils étaient gaullistes de Gauche.
A+
Patrice
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- Enregistré le : lun. févr. 12, 2007 10:45 am
- Localisation : Sur Terre mais la tête dans les nuages
L.G.M de Roland C. Wagner, c'était très bien, une excellente uchroni, c'est touffu, bourré de références, il y a de l'humour... par contre mes connaissances musicales se situant entre rien et pas grand chose, je n'ai sans doute pas tout saisi à sa juste valeur mais ça permet de découvrir de nouvelles choses, et c'est aussi pour ça que j'aime la SF ; c'est bon de se sentir ignorant parfois 

Tiens, tu arrives au bon moment, toi...Tony a écrit :L.G.M de Roland C. Wagner, c'était très bien, une excellente uchroni, c'est touffu, bourré de références, il y a de l'humour...

Cela dit, je suis d'accord.
Hop : Cédric FERRAND, Wastburg
Je viens de me lancer dans Les escargots se cachent pour mourir de Michel Pagel. Surprenant quand on ne connaît pas ce monsieur, mais pour l'instant (j'en suis à la moitié), la surprise est plaisante et je me suis laissé embarquer avec plaisir dans ce grand délire qui semble avoir donné, au moins, pas mal de joie à l'auteur.
Je verrai si la lassitude l'emporte ou si le rythme enlevé me porte jusqu'aux dernières pages.
Je verrai si la lassitude l'emporte ou si le rythme enlevé me porte jusqu'aux dernières pages.
Je confirme.kagemusha a écrit :je me suis laissé embarquer avec plaisir dans ce grand délire qui semble avoir donné, au moins, pas mal de joie à l'auteur.
Je l'ai vu écrire Pour une poignée d'helix pomatias.
Sur mon ordinateur (un Amstrad PCW 128, ça ne rajeunit personne).
Du coup, après, il s'en est acheté un.
Ben ce qui s'est passé c'est que Michel a découvert le traitement de texte avec cette bécane et ce bouquin.kagemusha a écrit :Ah oui, quand même ! Pas la préhistoire de l'informatique, mais on s'en rapproche...Bouse Bleuâtre a écrit :Sur mon ordinateur (un Amstrad PCW 128, ça ne rajeunit personne).
Enfin, tant que ça permet de bosser !
Et le reste est littérature…

Lisez Pagel, je ne le répèterai jamais assez.