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rmd
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Message par rmd » lun. oct. 13, 2008 2:51 pm

Gravité. Quelques jolis passages et surtout l'envie de lire la suite.
Après des années de cérémonie du Thé, il n’y a rien de meilleur que de vomir de la Bière.

ysandell
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Message par ysandell » mar. oct. 14, 2008 10:49 am

L'été indien d'une paire de lunettes de Van Vogt : Les Utts ont débarqué sur Terre pour améliorer la vie sociale des humains. Constatant que l'homme est responsable des maux de l'humanité, ils décident de le castrer chimiquement au moyen d'une curieuse paire de lunettes roses qui les rendent dociles comme des agneaux. Que se passe-t-il si les lunettes se fêlent mystérieusement, affectant le paisible Peter Grayson et le menant sur les chemins de la révolution ?

C'est un roman assez curieux et savoureux.La narration est relativement simpliste (malgré quelques rebondissements et situations invraisemblables), l'atmosphère a un côté années 50 (pourtant il a été écrit en 79) qui ne m'a pas déplu et il se dégage une impression de parodie/d'humour très second degré assez jouissive. On est loin des meilleurs Van Vogt mais c'est une lecture (rapide) agréable et une façon assez amusante de mettre en scène la myopie....[/i]

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Lensman
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Message par Lensman » mar. oct. 14, 2008 11:11 am

ysandell a écrit :L'été indien d'une paire de lunettes de Van Vogt : Les Utts ont débarqué sur Terre pour améliorer la vie sociale des humains. Constatant que l'homme est responsable des maux de l'humanité, ils décident de le castrer chimiquement au moyen d'une curieuse paire de lunettes roses qui les rendent dociles comme des agneaux. Que se passe-t-il si les lunettes se fêlent mystérieusement, affectant le paisible Peter Grayson et le menant sur les chemins de la révolution ?

C'est un roman assez curieux et savoureux.La narration est relativement simpliste (malgré quelques rebondissements et situations invraisemblables), l'atmosphère a un côté années 50 (pourtant il a été écrit en 79) qui ne m'a pas déplu et il se dégage une impression de parodie/d'humour très second degré assez jouissive. On est loin des meilleurs Van Vogt mais c'est une lecture (rapide) agréable et une façon assez amusante de mettre en scène la myopie....[/i]
Dans mes bras!
Oncle Joe

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Stéphane
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Message par Stéphane » mar. oct. 14, 2008 11:35 am

ysandell a écrit :On est loin des meilleurs Van Vogt mais c'est une lecture (rapide) agréable et une façon assez amusante de mettre en scène la myopie....[/i]
Moi j'aurais dit que c'est un des meilleurs. Ce qui donne une idée du talent de l'auteur...

:arrow:

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Eons
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Message par Eons » mar. oct. 14, 2008 11:47 am

Stéphane a écrit : :arrow:
Tu fais bien.
J'ai lu à peu près tous les romans de VV, et curieusement j'ai pratiquement tout oublié de ceux qui sont postérieurs à 1965. Je me souviens juste les avoir lus et trouvés à chier.
Alors que ceux d'avant, je me souviens bien mieux de la trame.
Les beaux livres, c’est aussi par ici : www.eons.fr

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gutboy
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Message par gutboy » mar. oct. 14, 2008 11:18 pm

Je surveille.
Listen now. Whoever you are, with these eyes of yours that move themselves along this line of text; whoever, wherever, whenever. If you can read this sentence, this one fragile sentence, it means you're alive. (Jeff Noon - Falling out of cars)

Papageno
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Message par Papageno » mer. oct. 15, 2008 10:06 am

Eons n’a pas dit du mal des Van Vogt de la grande période (heureusement) .
Mais il est vrai que pour ceux des années 70, ils sont, disons, un tout petit, mais tout petit chouilla en dessous. ;-)
J’ai un souvenir ému de «Ténébre sur Diamondia» auquel je n’ai rien compris, mais avec une délicieuse sensation de noyade au beau milieu du texte ! La grande question (ouverte) de ce roman, question auquel je n’ai pas su trouver de réponse est : De quoi parle t-il exactement ?
Il est fort ce Van Vogt !

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Seb
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Message par Seb » mer. oct. 15, 2008 11:24 am

J'ai terminé ce matin Kafka sur le rivage de Murakami Haruki.

Euh... voilà.

Tout simplement puissant.

Et à relire toujours.

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Patroth
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Message par Patroth » mer. oct. 15, 2008 1:43 pm

Le reflux de la nuit d Alphonse Brutsche;collection angoisse
Pierre est veuf depuis un an et n arrive pas a réagir...Quand un homme mystérieux lui propose de la faire revenir,après avoir hésiter il accepte..et la sa vie deviendra un cauchemar...un très bon roman de Jean Pierre Andrevon :shock:
L absence de preuves n est pas une preuve d absence

ysandell
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Message par ysandell » jeu. oct. 16, 2008 7:25 am

Mais enfin, qu'est-ce que vous lui reprochez à ce cher Alfred. EVV ? Bon, je peux vous concéder le fait que ses romans manquent parfois un peu (mais juste un peu) de cohérence. Cependant, ses idées relèvent d'une imagination "brute" (ne détournez pas ce malheureux adjectif, le seul qui me vienne ce matin) assez fascinante, qui ouvre les portes de la grande SF moderne. Il sait créer des univers vertigineux qui, aujourd'hui encore, fonctionne toujours "bien" : c'est bien simple, je me fais piéger à chaque fois. C'est d'une beauté parfois harassante.

En parlant de "beauté", j'ai lu avant-hier un petit (non, un grand, un étincelant !) bijou dont on ne parle pas souvent (mon nebula le présente comme "un classique enfoui") : La rose de Charles Harness (dernière trouvaille au fil des bouquinistes, pour ma plus grande joie : repartir avec des livres des éditions Opta qui étaient absents de ma collection fait partie des petits plaisirs de la vie). Autant dire que je me suis pris une immense claque. Ce livre est d'une beauté et d'une poésie sidérante. Une allégorie complexe et délectable mettant en scène le rapport à l’art d'une psychiatre, d'un artiste et d'une scientifique, sur fond de quête d'une surhumanité. Superbe.

En cours de lecture : le maître des illusions de Donna Tartt. Difficile de le lâcher pour aller corriger des copies !

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Nébal
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Message par Nébal » jeu. oct. 16, 2008 7:41 am

ysandell a écrit :Bon, je peux vous concéder le fait que ses romans manquent parfois un peu (mais juste un peu) de cohérence.
:lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol:

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Lensman
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Message par Lensman » jeu. oct. 16, 2008 7:55 am

Nébal a écrit :
ysandell a écrit :Bon, je peux vous concéder le fait que ses romans manquent parfois un peu (mais juste un peu) de cohérence.
:lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol:
Mais au moins, ils sont courts... ce n'est pas comme certains...
Oncle Joe

Papageno
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Message par Papageno » jeu. oct. 16, 2008 8:44 am

ysandell a écrit:
Bon, je peux vous concéder le fait que ses romans manquent parfois un peu (mais juste un peu) de cohérence.
Oui, mais la décohérence c'est très étudié aujourd'hui (en physique :-) )
et c'est justement la, qu'est toute la modernité de Van Vogt ;-)
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Eric
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Message par Eric » jeu. oct. 16, 2008 9:26 am

Loin de moi l'idée de relancer la polémique, mais force est de constater que Van Vogt, c'est de la merde.
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.

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kibu
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Message par kibu » jeu. oct. 16, 2008 10:16 am

Loin de moi l'idée de relancer la polémique, mais force est de constater que Van Vogt, c'est de la merde.
Sur le rivage ?

Pardon. Je mélange les posts.

A part ça, je suis en train de lire Lune et l'autre de John Kessel.
Pas mal pour l'instant mais pas transcendant.
Je dois avouer que je suis encore tout retourné par ma précédente lecture : Le Haut-Lieu et autres espaces inhabitables de Serge Lehman.

Lisez-le, achetez-en des brouettes entières.
Modifié en dernier par kibu le jeu. oct. 16, 2008 10:19 am, modifié 1 fois.
A l'envers, à l'endroit

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