Serge LEHMAN - Le Livre des Ombres

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Bouse Bleuâtre

Message par Bouse Bleuâtre » jeu. oct. 23, 2008 2:10 pm

systar a écrit :(si tu peux éviter de me renvoyer à des liens ou articles que tu aurais déjà écrits ailleurs, ça sera cool aussi :wink: )
Hé, on n'est pas sur Wikipédia.

Sinon, l'article du Nicholls est très bien, aussi.

systar
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Message par systar » jeu. oct. 23, 2008 2:11 pm

Lensman a écrit :
systar a écrit :[

Et moi de relancer en te demandant comment tu définirais précisément ces deux versions-types (disons qu'aucune ne se manifeste sans doute à l'état pur: même dans le roman d'évasion avec vaisseaux spatiaux le plus con ou premier degré, une part d'intellect entre en jeu, ne serait-ce que parce que l'acte même de la lecture est intellectuel par nature) du SOW.
Mais la question a-t-elle un sens? Je veux dire qu'il n'est peut-être pas possible de DEFINIR deux "versions-types"; mais qu'il est par contre possible de placer (approximativement) les textes sur une échelle (approximative). Par exemple, un Peter Randa serait très éloigné d'un Gordon Dickson (de la série Dorsai) ou des "Galaxiales" de Demuth. Ou un Alexis Aubenque serait très éloigné d'un Banks de la Culture. il me semble que Roland parlait plutôt d'extrêmes que de versions-types.
Oncle Joe
Je précise: j'avais en tête les "idéaux (idéals?)-types" qu'on utilise en sciences humaines: des extrêmes, donc (ce que tu disais), qu'on ne verra jamais à l'état pur dans la réalité, mais qui permettent, combinés à des facteurs particuliers, ou à des aspects plus singuliers, de modéliser un phénomène, une réalité.
En fait on se rejoint, je crois, je m'étais mal exprimé.

Mais la possibilité d'une définition précise de ces deux extrêmes m'intéresserait quand même. On peut, comme tu le suggères, répondre plutôt par des exemples, mais avec mon satané goût pour l'abstraction... :wink:

Bouse Bleuâtre

Message par Bouse Bleuâtre » jeu. oct. 23, 2008 2:13 pm

systar a écrit :Mais la possibilité d'une définition précise de ces deux extrêmes m'intéresserait quand même.
Je te le fais si tu fais d'abord la même chose pour la science-fiction.

Tu as jusqu'en 2013. :roll:

systar
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Message par systar » jeu. oct. 23, 2008 2:13 pm

Bouse Bleuâtre a écrit :
systar a écrit :(si tu peux éviter de me renvoyer à des liens ou articles que tu aurais déjà écrits ailleurs, ça sera cool aussi :wink: )
Hé, on n'est pas sur Wikipédia.

Sinon, l'article du Nicholls est très bien, aussi.
C'est pas comme si wiki m'éclairait, pour le coup...

ça m'apprendra à vouloir discuter sérieusement avec toi... :lol:

systar
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Message par systar » jeu. oct. 23, 2008 2:14 pm

Bouse Bleuâtre a écrit :
systar a écrit :Mais la possibilité d'une définition précise de ces deux extrêmes m'intéresserait quand même.
Je te le fais si tu fais d'abord la même chose pour la science-fiction.

Tu as jusqu'en 2013. :roll:
Poule mouillée.

Bouse Bleuâtre

Message par Bouse Bleuâtre » jeu. oct. 23, 2008 2:40 pm

systar a écrit :
Bouse Bleuâtre a écrit :
systar a écrit :Mais la possibilité d'une définition précise de ces deux extrêmes m'intéresserait quand même.
Je te le fais si tu fais d'abord la même chose pour la science-fiction.

Tu as jusqu'en 2013. :roll:
Poule mouillée.
Pas fou.

L'extase, il paraît qu'elle peut naître de plein de trucs, aussi bien la branlette que la flagellation.

Là, c'est pareil, en un sens.

C'est quand tu te dis "oh putain il a pas fait ça", voire des trucs encore plus vulgaires.

C'est un peu la version locale du sentiment océanique pour le lecteur de SF adolescent.

Alors, si tu tiens à tes deux extrêmes — quoiqu'il puisse y en avoir plus, en y réfléchissant bien — disons qu'à un bout il peut y avoir la naïveté totale et à l'autre la prise en conscience totale de la réalité, si tant est que ce soit possible. L'axe de référence irait dans ce cas du texte uniquement constitué de clichés, poncifs et autres lieux communs science-fictifs au texte qui en serait totalement dépourvu.

Le bon space opera de base est assez limbique, en y réfléchissant bien.

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