
Y'a des fois, comme ça, on tombe sur un bouquin qui sort de l'ordinaire, vous balance tout plein de frissons dans le bas du dos une fois qu'on en a achevé la lecture, vous laisse dans une sorte d'hébétude proche de la béatitude


Je n'arrive pas à imaginer la masse monstre de boulot qu'il a fallu abattre, non seulement à l'auteur pour inscrire une telle intrigue dans la réalité historique du 14ème siècle (sans parler de la partie scientifique de l'ouvrage), mais également au traducteur, dont je savais déjà qu'il était balaise, mais là.... whaooo (mais comment fait-il, JDB, pour retrouver et référencer à chaque coin de page des citations de la bible ou des évangiles, je ne comprends pas que ce soit possible...

Tiens, j'en suis à un point tel de béatitude que j'en arrive même à comprendre la couverture de Jackie Paternoster (je suppose qu'elle a voulu représenter la Peste Noire, et le moins que l'on puisse dire, c'est que c'est réussi, même si on peut douter de l'efficacité d'une telle couverture pour ce qui est d'allécher l'éventuel lecteur).

Bon, je ne vais pas en dire plus, ce serait gâcher le plaisir, m'enfin une chose est sûre, dans les semaines et les mois à venir, c'est un des bouquins que je vais conseiller à tour de bras...



J'ai vu sur le site de Robert Laffont que Michael Flynn était l'auteur de plusieurs romans. S'ils sont tous du même calibre, j'espère que certains d'entre eux seront traduits... (heu... à moins que cela ait déjà été fait en France et que je sois totalement passé à côté ? Mais me semble pas... heu... je crois, hein...
