L'Homme Stochastique (Bob). Spoiler.
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L'Homme Stochastique (Bob). Spoiler.
Lu hier soir.
Nom de Zeus, après L'Homme dans le Labyrinthe que j'ai aussi lu pour la première fois récemment, deuxième claque par Silverberg.
J'ouvre ce sujet car je voudrais votre avis sur la fin de l'Homme Stochastique.
Le personnage principal a atteint lui aussi un stade où il "voit" distinctement le futur.
Il a fait peur à Quinn, le futur Président/Dictateur des USA.
A ce stade, normalement, le lecteur a de la sympathie pour le "Héros", qui a perdu sa femme, son Job, le but de sa vie, et qui est en plus en proie à de sérieux cauchemars autour de sa propore mort.
Puis, à la toute toute fin du livre, Nichols ouvre une école de "post-stochastique" où il recrute et forme d'autre personnes, ses nouveaux frêres, à l'art de voir dans le futur.
But avoué, que tous puisse posséder ce "don" et que l'Homme soit enfin débarrassé de ce fardeau qu'est le libre arbitre. Chacun jouant à la perfection son rôle, connu à l'avance.
Dixit les dernières phrases du livre : "Mort à Jacques Monod, Vive Dieu"
Ben, je ne sais pas pour vous, mais moi du coup, je ne pense qu'à une seule chose : être Quinn et foutre tout ce beau monde en face d'un peleton d'exécution.
Ce salaud de Silverberg a réussi à me faire rendre sympathique Gengis Khan !
Fort, très fort le gars
Mort à Nichols !
Vive Quinn !
Nom de Zeus, après L'Homme dans le Labyrinthe que j'ai aussi lu pour la première fois récemment, deuxième claque par Silverberg.
J'ouvre ce sujet car je voudrais votre avis sur la fin de l'Homme Stochastique.
Le personnage principal a atteint lui aussi un stade où il "voit" distinctement le futur.
Il a fait peur à Quinn, le futur Président/Dictateur des USA.
A ce stade, normalement, le lecteur a de la sympathie pour le "Héros", qui a perdu sa femme, son Job, le but de sa vie, et qui est en plus en proie à de sérieux cauchemars autour de sa propore mort.
Puis, à la toute toute fin du livre, Nichols ouvre une école de "post-stochastique" où il recrute et forme d'autre personnes, ses nouveaux frêres, à l'art de voir dans le futur.
But avoué, que tous puisse posséder ce "don" et que l'Homme soit enfin débarrassé de ce fardeau qu'est le libre arbitre. Chacun jouant à la perfection son rôle, connu à l'avance.
Dixit les dernières phrases du livre : "Mort à Jacques Monod, Vive Dieu"
Ben, je ne sais pas pour vous, mais moi du coup, je ne pense qu'à une seule chose : être Quinn et foutre tout ce beau monde en face d'un peleton d'exécution.
Ce salaud de Silverberg a réussi à me faire rendre sympathique Gengis Khan !
Fort, très fort le gars
Mort à Nichols !
Vive Quinn !
- orcusnf
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Ah
j'ai détesté, me suis même demandé pourquoi je l'avais lu jusqu'au bout.
Enfin, yavait un avantage, j'avais appris le sens du mot stochastique...
j'ai détesté, me suis même demandé pourquoi je l'avais lu jusqu'au bout.
Enfin, yavait un avantage, j'avais appris le sens du mot stochastique...
http://www.fantastinet.com l'actualité de la littérature de l'imaginaire
Thématique proche par certains côtés, c'est vrai.kibu a écrit :Un excellent souvenir de lecture en ce qui me concerne.
Je me demande d'ailleurs, si Robert C. Wilson ne fait pas une allusion à ce roman dans Les chronolithes ?
Mais Silverberg lui a su finir en feu d'artifice (si tu vois ce que je veux dire...)
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- Goldeneyes
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Tiens. En train de lire "Résurrections" du sieur (période de la prolixité des années 1970). J'avais déjà lu "Vivre encore", qui traite du même thème. Celui-ci s'axe plus volontiers autour de l'analyse sociale et politique (sérieusement prospective) des répercussions que pourrait entrainer la concrétisation scientifique d'un processus de résurrection (réaction de l'Eglise, des différentes partis politiques...). Et c'est ma foi pas trop mal (faut dire que comme la majorité des romans de cette période, ça se lit vite : 250 pages).
Ah. Et bonne année. Beurk.
Ah. Et bonne année. Beurk.