... ça me fait penser au problème du fonctionnement du couple Rosny Aîné/Rosny Jeune... Parfois, il vaut mieux n'avoir aucun renseignement, parce que, quand on sait qu'il y a un problème et qu'on veut le résoudre, c'est l'enfer...
Oncle Joe
Le retour des ténèbres d'Asimov et Silverberg
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- bormandg
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Bon, d'une part la version Masque des Hommes stellaires est sans doute assez tronquée, comme d'habitude au Masque SF.Papageno a écrit :Justement, peut-on avoir confiance en la seule signature ?
j'avais lu d'elle "Les Hommes Stellaires" (Le Masque Numéro 8 ) un SO plutôt moyen (à mon avis) - ou je ne reconnaissais pas du tout le style de Leigh Brackett - du moins tel que je l'imaginais, après avoir lu ses textes martiens, et sa trilogie tardive sur Staith - Le style de ce roman me faisant tellement penser à E Hamilton - que je me suis demandé si ce n'était pas lui, en fait, le véritable auteur ?
D'autre part je ne vois pas en quoi ce roman te fait plus penser à Hamilton qu'à Brackett.

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Ben, les récits martiens parlent de mars (canaux, vielles civilisations...etc..). Les trois volumes sur Skaith transportent l'action ailleurs, mais restent dans le même ton (en moins bien, toutefois)
Dans tout ces récits l'ambiance est, disons, plutôt "Planete-opéra" - comme dans les John carter de E.R. Burroughs.
Alors que pour "Les hommes stellaires" l'ambiance est (du moins dans mon souvenir) nettement plus Space-Opéra avec vaisseaux spatiaux...etc. Une thématique que j'associe nettement plus à E. Hamilton qu'a Leigh Brackett.
Ceci dit, je ne connais pas tous les Brackett - même pas tout ce qui est parut en français (il y a un CLA qui me fait flipper). Le reste n'est qu'une impression de lecteurs, qu'aucune source ne vient vraiment justifier, comme l'a très judicieusement indiqué Sandrine.
Dans tout ces récits l'ambiance est, disons, plutôt "Planete-opéra" - comme dans les John carter de E.R. Burroughs.
Alors que pour "Les hommes stellaires" l'ambiance est (du moins dans mon souvenir) nettement plus Space-Opéra avec vaisseaux spatiaux...etc. Une thématique que j'associe nettement plus à E. Hamilton qu'a Leigh Brackett.
Ceci dit, je ne connais pas tous les Brackett - même pas tout ce qui est parut en français (il y a un CLA qui me fait flipper). Le reste n'est qu'une impression de lecteurs, qu'aucune source ne vient vraiment justifier, comme l'a très judicieusement indiqué Sandrine.
- sandrine.f
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il est vrai que ce roman est en effet le premier hors du cadre martien pour Brackett. Elle s'essaiera aussi au post-apocalyptique avec The long tomorrow (qui fait partie du fameux CLA), mais elle reviendra sur Mars.Papageno a écrit :Ceci dit, je ne connais pas tous les Brackett - même pas tout ce qui est parut en français (il y a un CLA qui me fait flipper).

(Ace, 1962, couverture de Ed Emshwiller)