Enfin, surtout pour ActuSF...Algernon a écrit :Stéphane est chroniqueur pour Noosfere.
"Allez au diable !" Critique
Modérateurs : Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m
Bonjour à tous,
Et bien que d'agitation, je ne pensais pas remuer autant les consciences en demandant simplement à mes lecteurs de me donner leurs conseils...
Je vais essayer de répondre à tous, même si tout tourne autour du même sujet : "Amalthée".
Je le répète, Amalthée est une petite maison d'édition, qui permet a ceux qui veulent entrer dans le monde littéraire ou y rester de pouvoir y accéder. Après à l'auteur de se détacher des autres avec son verbe ou sa plume. Et cela est valable pour tout les auteurs non "bankable".
Pour ma part, j 'ai demandé un détail des frais et j'ai pu constater ou était mes 2000e et ou était leur 5000e... Là aussi, il faut savoir être conscient d'où on est.
Il est évident qu'Amalthée, Bénévent... ne sont pas comparable à Galimard, Laffont... et quand on nous demande de signer le contrat (et qu'on le lis) on sait à quoi on s'engage.
Je sais qu'Amalthée ne pourra pas me faire rentrer sur les émissions littéraires et qu'elle devra galérer pour me faire connaitre et surtout que je devrais participer à cette démarche de communication. Mais en tant qu'auteur cela ne me dérange pas de devoir défendre mon oeuvre et de devoir faire plus de démarche si cela me permet d'avancer dans ce métier.
Et je trouve cela injuste que vous puissiez critiquer cette démarche et aller jusqu'à dire que mon livre est un surement un étron sans l'avoir lu.
En outre, mon attaché de communication fait son métier et en l'espace de 2 mois j'ai déjà 4 séances de dédicaces de prévu, 1 interview télévisé et 2 conférences en vu.
Je tiens à présicer que toutes vos remarques ne me peine en aucun cas, car il y a échange (constructif) et c'est cela qui est le plus important. En outre, je tiens à vous remercier pour vos idées de coms, je serais m'en souvenir.
Cordialement.
Ludovic
Et bien que d'agitation, je ne pensais pas remuer autant les consciences en demandant simplement à mes lecteurs de me donner leurs conseils...
Je vais essayer de répondre à tous, même si tout tourne autour du même sujet : "Amalthée".
Je le répète, Amalthée est une petite maison d'édition, qui permet a ceux qui veulent entrer dans le monde littéraire ou y rester de pouvoir y accéder. Après à l'auteur de se détacher des autres avec son verbe ou sa plume. Et cela est valable pour tout les auteurs non "bankable".
Pour ma part, j 'ai demandé un détail des frais et j'ai pu constater ou était mes 2000e et ou était leur 5000e... Là aussi, il faut savoir être conscient d'où on est.
Il est évident qu'Amalthée, Bénévent... ne sont pas comparable à Galimard, Laffont... et quand on nous demande de signer le contrat (et qu'on le lis) on sait à quoi on s'engage.
Je sais qu'Amalthée ne pourra pas me faire rentrer sur les émissions littéraires et qu'elle devra galérer pour me faire connaitre et surtout que je devrais participer à cette démarche de communication. Mais en tant qu'auteur cela ne me dérange pas de devoir défendre mon oeuvre et de devoir faire plus de démarche si cela me permet d'avancer dans ce métier.
Et je trouve cela injuste que vous puissiez critiquer cette démarche et aller jusqu'à dire que mon livre est un surement un étron sans l'avoir lu.
En outre, mon attaché de communication fait son métier et en l'espace de 2 mois j'ai déjà 4 séances de dédicaces de prévu, 1 interview télévisé et 2 conférences en vu.
Je tiens à présicer que toutes vos remarques ne me peine en aucun cas, car il y a échange (constructif) et c'est cela qui est le plus important. En outre, je tiens à vous remercier pour vos idées de coms, je serais m'en souvenir.
Cordialement.
Ludovic
PS : J'aimerais en faire mon métier mais j'ai connaissance des nombreux obstacles pour y accéder. Pour ma part, passer par une petite porte pour accéder à une plus grande ne parrait pas une si mauvaise idée même s'il faut prendre plus de risque et plus de tmeps. Pour ma part, j'ai le temps et la volonté de vouloir avancer petit à petit.
En outre, j'ai évidement conscience que pour avancer dans ce monde, il faut passer par le compte d'éditeur des grosses maisons d'éditions. Mon roman a faillit être retenu par la maison d'édition "Plon". J'ai appri que dans le commité de lecture une seule personne n'était pas favorable et que c'était pour cela que les choses n'avançaient pas. Suite à cela j'ai reçu une réponse négative en me demandant de poursuivre.
Pour un tout jeune auteur connu de personne, sortant son premier roman a compte d'auteur, j'ai trouvé cela encourageant et je poursuit donc ma passion.
Encore merci pour tous ces échanges.
Cordialement.
Ludovic
En outre, j'ai évidement conscience que pour avancer dans ce monde, il faut passer par le compte d'éditeur des grosses maisons d'éditions. Mon roman a faillit être retenu par la maison d'édition "Plon". J'ai appri que dans le commité de lecture une seule personne n'était pas favorable et que c'était pour cela que les choses n'avançaient pas. Suite à cela j'ai reçu une réponse négative en me demandant de poursuivre.
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Ludovic
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Bouse Bleuâtre
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bormandg
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Les émissions snobinardes, interdites aux écrivains possédant un cerveau en état de marche et réservées aux amis de directeurs financiers, tout le monde avait compris.Bouse Bleuâtre a écrit :Les quoi ?Ldubs a écrit :Je sais qu'Amalthée ne pourra pas me faire rentrer sur les émissions littéraires
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
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bormandg
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Bonne chance quand même. Mais trente échecs (que ce soit à une voix près ou à l'unanimité, un échec reste un échec) dans des maisons d'édition font plus avancer qu'une publication à compte d'auteur...Ldubs a écrit :PS : J'aimerais en faire mon métier mais j'ai connaissance des nombreux obstacles pour y accéder. Pour ma part, passer par une petite porte pour accéder à une plus grande ne parrait pas une si mauvaise idée même s'il faut prendre plus de risque et plus de tmeps. Pour ma part, j'ai le temps et la volonté de vouloir avancer petit à petit.
En outre, j'ai évidement conscience que pour avancer dans ce monde, il faut passer par le compte d'éditeur des grosses maisons d'éditions. Mon roman a faillit être retenu par la maison d'édition "Plon". J'ai appri que dans le commité de lecture une seule personne n'était pas favorable et que c'était pour cela que les choses n'avançaient pas. Suite à cela j'ai reçu une réponse négative en me demandant de poursuivre.
Pour un tout jeune auteur connu de personne, sortant son premier roman a compte d'auteur, j'ai trouvé cela encourageant et je poursuit donc ma passion.
Encore merci pour tous ces échanges.
Cordialement.
Ludovic
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bormandg
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Absolument; ce que je voulais écrire, c'est que, si ton texte a été rejeté par Plon, il valait mieux le représenter ailleurs et ailleurs, avec d'autres textes si jamais, jusqu'à ce qure l'un d'entre eux soit accepté, plutôt que le publier à compte d'auteur, ce qui, sauf exception (Balzac a publié la plupart de ses livres à compte d'auteur, il ne faut pas l'oublier; mais à l'époque c'était plus courant), mène à l'impasse.Ldubs a écrit :Tout à fait juste. Mais n'est ce pas de nos échecs que nous sortons grandi ?
Ludovic
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Cher Bormandg,
j'ai tres bien compris la direction de ton idee et j'aurais peut etre du etre plus patient mais l'impatience de l'auteur est parfois trop grande Surtout quand une maison comme Plon vous dit que votre livre est passé a un doigt.
Cordialement
Ludovic
PS : J'ai eu l'eccho d'auteur qui transmettait leur roman en ligne pour la lecture du plus grand nombre mais en ne mettant pas la fin de leur livre pour que le lecteur puisse se faire une idee de l'oeuvre et que celui-ci soit aille l'acheter pour connaitre la fin si il avait aimé. J'aime bien cette idée. Quand pensez vous en tant que spécialiste...
Merci
j'ai tres bien compris la direction de ton idee et j'aurais peut etre du etre plus patient mais l'impatience de l'auteur est parfois trop grande
Surtout quand une maison comme Plon vous dit que votre livre est passé a un doigt.Cordialement
Ludovic
PS : J'ai eu l'eccho d'auteur qui transmettait leur roman en ligne pour la lecture du plus grand nombre mais en ne mettant pas la fin de leur livre pour que le lecteur puisse se faire une idee de l'oeuvre et que celui-ci soit aille l'acheter pour connaitre la fin si il avait aimé. J'aime bien cette idée. Quand pensez vous en tant que spécialiste...
Merci
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bormandg
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D'abord j'ai corrigé certaines fautes de ton message. Un des défauts de l'édition à compte d'auteur est qu'elle est presque toujours privée de corrections d'éditeur (non seulement la grammaire, mais aussi la typographie et la présentation); je sais que certains éditeurs sont aussi déficients sur ce point, d'ailleurs, mais le lecteur, lui, réagit. Sur forum, le bouton éditer est là pour permettre de corriger les fautes de frappe ou d'inattention... Sur livre imprimé, il est trop tard.Ldubs a écrit : PS : J'ai eu l'echo d'auteurs qui transmettaient leur roman en ligne pour la lecture du plus grand nombre mais en ne mettant pas la fin de leur livre pour que le lecteur puisse se faire une idee de l'oeuvre et que celui-ci doive l'acheter pour connaitre la fin si intéressé. J'aime bien cette idée. Quand pensez vous en tant que spécialiste?...
Merci
Sinon, je ne suis pas vraiment spécialiste, seulement amateur moyennement compétent et fortement volubile. Ceci veut dire que je peux donner des avis ou des conseils, mais ces avis et conseils ne valent que ce que valent mes opinions; elles sont, je l'espère, parfois correctes...
Donc mon expérience personnelle (j'ai mis en ligne des débuts de traduction et des appels à texte pour toucher des amateurs: le résultat est quasiment nul) est plutôt négative. Une mise en ligne n'attire que si le site sur lequel cette mise en ligne est faite est déjà un peu connu. Sauf exception (pas de règle absolue en ce domaine, bien sûr). A priori, si tu n'en mets ni trop ni trop peu, un teaser ne peut apporter que des résultats positifs (ou nuls), en tout cas il ne fera pas de tort... Avec, bien sûr, un lien vers un site de vente, sinon le résultat sera nul.
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bormandg
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AMA, c'est encore plus quand on te dit que ton livre est passé à un doigt de l'acceptation qu'il faut éviter de se presser trop et rester dans le fil "éditeurs professionnels". Et qu'il faut relire le livre en cherchant où est le détail qui a fait passer à côté pour le réparer.Ldubs a écrit : j'ai tres bien compris la direction de ton idee et j'aurais peut etre du etre plus patient mais l'impatience de l'auteur est parfois trop grande
Parce qu'une fois engagé dans la presque-impasse de l'auto-édition, tu as reculé de nombreux pas pour l'édition en librairie de tes oeuvres à venir.
Bon, d'un côté, ce qui est fait est fait... Reste à espérer que ton livre mérite un certain succès. Bonne chance tout de même...
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Ldubs a écrit :Amalthée est une petite maison d'édition,
"petite", bien sûr...
Si un jour je change de poste et me retrouve dans le "bon" secteur, une de mes premières actions sera de faire du lobbying pour interdire le terme "maison d'édition" dans le cas du compte d'auteur. Avoir interdit que le contrat s'appelle un contrat d'édition, c'est pas suffisant, visiblement.
On n'est pas loin d'une tromperie à la "boulangerie" à l'époque des simples points chauds qui mettaient cette enseigne.
