Tout à fait d'accord. En ce qui concerne la revue pour laquelle je travaille, je fais un premier balayage du texte sur écran, je mets en page puis j'envoie aux trois correcteurs qui travaillent sur papier (mais m'envoient le plus souvent leurs corrections dans un fichier séparé par mail).Cher ami, à partir du moment où le produit est destiné à être imprimé, il est INDISPENSABLE de faire une relecture papier, c'est-à-dire sous la forme qui sera présentée au public. Je ne vois pas le rapport avec le siècle. Avant l'informatique, on ne se bornait pas (à part Restif de la Bretonne, OK!) à faire des relectures directement sur les plombs, Monsieur!
De toutes façons, je ne leur confie jamais de fichiers modifiables. Que des pdf.
Mais maintenant, j'aimerais bien qu'on parle de la revue elle-même, quand même. D'autres lecteurs?
A+
Patrice