Oui, mais c'est une des composantes de notre réflexion.Lensman a écrit :Je crois que, sur ce fil, tout le monde s'en tappe, du Goncourt.systar a écrit :Dont l'influence sur l'avis des mundanes (coucou Roland!) avoisine le néant.bormandg a écrit :le canon de l'Académie.
A Noël, tout le monde va offrir au beau-frère prout-prout qui casse les roustons à tout le monde à table le dernier Goncourt.
Marie N'Diaye, donc, dont il paraît que les trois femmes puissantes sont intéressantes littérairement.
Quand on dit à Serge qu'il a tort de s'emmerder à tenter de donner à la SF une légitimation intellectuelle hors du lectorat déjà clairement identifié SF, on manifeste aussi un problème, à mon sens.
Quand on est sûr de la qualité, de la richesse, de la profondeur, de l'émotion et des idées qu'on véhicule, on n'a aucun souci, aucun état d'âme, pour trouver anormal de ne pas être reconnu par tout le monde (symboliquement, culturellement, mais aussi pécuniairement).
Enfin, c'est ma perception de la chose.
Quand je vois l'appétit intellectuel des copains de la philo, je trouve curieux qu'ils n'aient jamais cru pouvoir trouver dans la SF de quoi se rassasier (entre autres types de rassasiements possibles).
Et là, la démarche de Serge devient pertinente, très vite (indépendamment des questions de rigueur méthodologique qui sont ici disputées)