J'adore ce cycle. Bien que la dernière fois que j'ai lu les 7 livres, cela doit remonter à 25-30 ans.Si le Belial ou Lunes d'encre pouvait rééditer ce cycle ce serait une bonne chose.gutboy a écrit :Entamé ce matin Patrouille Galactique d'E.E. "Doc" Smith.
Du sang, des tripes, des megasuperpouvoirs psychiques, des megasuperarmes, des megasupervaisseauxspatiaux, des vrais hommes.
C'est génial. Quoi que pour le moment à peine assez excessif comparé au précédent, Le Premier Fulgur (celui avec les moteurs Diesel pour aller plusieurs fois plus vite que la lumière).
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- marc
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- Stéphane
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Je viens d'achever Croisière Sans Escale de Brian Aldiss.
Pour son premier roman, il y a pas à dire, il a fait fort. Ce roman mérite son titre de "classique" : bien écrit, univers solide et crédible.
Après le cycle d'Helliconia qui ne m'avait pas transcendé, ça me donne envie de relire du Aldiss.
Mais pour le prochain, ce sera La Saison des Mutants de Silverberg et Haber...
Pour son premier roman, il y a pas à dire, il a fait fort. Ce roman mérite son titre de "classique" : bien écrit, univers solide et crédible.
Après le cycle d'Helliconia qui ne m'avait pas transcendé, ça me donne envie de relire du Aldiss.
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- marc
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J'ai terminé La voie des furies de David Weber. Comme inconditionnel de Honor Harrington mais pas de David Weber, j'ai plutôt été déçu.
Ce livre a été écrit avant que l'auteur ne commence son principal cycle. Finalement un livre très dispensable, à oublier, dont on trouvera une petit chronique sur mon blog.
Ce livre a été écrit avant que l'auteur ne commence son principal cycle. Finalement un livre très dispensable, à oublier, dont on trouvera une petit chronique sur mon blog.
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- Aikau le bô
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Pareil. Un excellent roman qui a très bien vieilli. Quelques longueurs, mais l'ensemble a été un voyage très intéressant.Stéphane a écrit :Je viens d'achever Croisière Sans Escale de Brian Aldiss.
Si la science est l'unique aspect déterminant de la SF, et que la psychologie est une science, alors Madame Bovary est de la SF
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J'en garde aussi un excellent souvenir de cette histoire avec la Terre qui a arrêté de tourner...Lensman a écrit :Un classique.
Je recommande aussi "Le monde vert" du même auteur, dans un genre totalement différent.
Oncle Joe
Jérôme
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
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- marc
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C'est justement les deux seuls Aldiss que j'ai et que je dois encore lire. Cela a souvent du bon d'être bien conseillé au niveau lecture sur les forums SF.
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Bof. Le Monde Vert est le seul Aldiss que j'ai lu;
C'a m'a vraiment pas donné envie d'en lire un autre.
Ben non, désolé, les auteurs qui prétendent faire du neuf avec du vieux, moi ça me gave.
C'a m'a vraiment pas donné envie d'en lire un autre.
Justement à cause de ça. Il s'est contenté de prendre les animaux et de dire "hop, maintenant c'est des végétaux". Et la foule: "ouahh, comme c'est original !!"Papageno a écrit :Et les toiles des grosses araignées vegétales qui vont jusqu'a la lune!
Ben non, désolé, les auteurs qui prétendent faire du neuf avec du vieux, moi ça me gave.
Listen now. Whoever you are, with these eyes of yours that move themselves along this line of text; whoever, wherever, whenever. If you can read this sentence, this one fragile sentence, it means you're alive. (Jeff Noon - Falling out of cars)
- Fred Combo
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J'en garde un bon souvenir, moi, du "monde vert" ! Il n'y avait pas aussi une sorte de champignon parasite intelligent ?
Sinon, j'ai aussi le souvenir d'une bonne nouvelle dans un des tomes des "dangereuses visions" : "le jour de la grande fuite du temps" (ou quelque chose comme ça) dans laquelle le temps est une sorte de gaz dont sont équipées les maisons. Un jour, il y a une grosse fuite (dans la centrale qui distribue le temps ?) et c'est le bazar... Bon, il faudrait que j'y rejette un oeil, mais il me semble que c'est à -peu-près ça. Bonne idée, je trouve, et originale en plus.
Sinon, j'ai aussi le souvenir d'une bonne nouvelle dans un des tomes des "dangereuses visions" : "le jour de la grande fuite du temps" (ou quelque chose comme ça) dans laquelle le temps est une sorte de gaz dont sont équipées les maisons. Un jour, il y a une grosse fuite (dans la centrale qui distribue le temps ?) et c'est le bazar... Bon, il faudrait que j'y rejette un oeil, mais il me semble que c'est à -peu-près ça. Bonne idée, je trouve, et originale en plus.
Si tu ne fais pas une histoire de ta vie, un jour tu seras dans l'histoire de quelqu'un d'autre.
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Je viens de finir Meddik de Di Rollo. Dire que je pensais qu'il ne pouvait pas faire pire que dans Cendres...je me trtompais lourdement, Cendres est guilleret et bisounourien à côté de meddik, comme toujours, à ne pas lire pendant une dépression nerveuse hein !
http://www.fantastinet.com l'actualité de la littérature de l'imaginaire
J'étais en train de le terminer quand l'oncle Joe, croisé par hasard, m'a conseillé :Stéphane a écrit : Je viens d'achever Croisière Sans Escale de Brian Aldiss.
La critique de croisière sans escale est là et le monde vert fait désormais partie de ma pile à lire... un de plus."Le monde vert" du même auteur, dans un genre totalement différent.
Kt
«Un spécialiste, c'est quelqu'un qui sait tout sur quelque chose et rien sur tout le reste.» Ambrose Bierce
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KtSteward, le site ou Le Blog
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Justement, c’est ça, le but du jeux, un monde entièrement végétal, sans forme de vie animale, mais ou les végétaux ont développés leurs propre écologie.Justement à cause de ça. Il s'est contenté de prendre les animaux et de dire "hop, maintenant c'est des végétaux".
Dans ce livre tous est végétale, depuis le moindre animalcule, jusqu’aux grosses araignées, tous, sans exceptions. Mes souvenirs sont lointains, mais je crois même me rappeler que les personnages eux-mêmes ne sont que de minuscules copies végétales d’êtres humains (ici je peut me tromper je ne me souviens plus très bien).
Bon il y a sans doute quelques longueurs, mais l’ambiance est quand même etoufante et je ne suis pas sur que cela avait déjà été fait auparavant, du moins aussi radicalement. (ha merde, si, dans « Les dieux vert » de Nathalie Henneberg qui, il me semble, l’a même précédé)