Hal Duncan - Vélum

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systar
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Message par systar » sam. oct. 11, 2008 10:31 am

Eons a écrit :
Thibaud E. a écrit :J'y suis ! Hal… Carl 9000… 2001 :D
29h de délai. Ça va, tu comprends vite, faut juste te laisser du temps. :lol:
Oui, 29h.
Le temps qu'il faut pour lire le livre.
ça nous fait du un euro l'heure de plaisir.
ça va. C'est honnête.

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Thibaud E.
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Message par Thibaud E. » sam. oct. 11, 2008 11:01 am

Eons a écrit :
Thibaud E. a écrit :J'y suis ! Hal… Carl 9000… 2001 :D
29h de délai. Ça va, tu comprends vite, faut juste te laisser du temps. :lol:
En même temps, je ne passe pas ma vie sur le forum, moi ;)

systar
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Message par systar » sam. oct. 11, 2008 11:14 am

Thibaud E. a écrit :
Eons a écrit :
Thibaud E. a écrit :J'y suis ! Hal… Carl 9000… 2001 :D
29h de délai. Ça va, tu comprends vite, faut juste te laisser du temps. :lol:
En même temps, je ne passe pas ma vie sur le forum, moi ;)
Sans compter qu'on n'a toujours pas compris pourquoi il fallait forcément refoutre de la SF de papy (si brillante soit-elle par ailleurs, là n'est pas la question) là où ça n'a aucun rapport avec la choucroute...

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Eons
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Message par Eons » sam. oct. 11, 2008 11:25 am

systar a écrit :
Eons a écrit :
Thibaud E. a écrit :J'y suis ! Hal… Carl 9000… 2001 :D
29h de délai. Ça va, tu comprends vite, faut juste te laisser du temps. :lol:
Oui, 29h.
Le temps qu'il faut pour lire le livre.
ça nous fait du un euro l'heure de plaisir.
ça va. C'est honnête.
29h pour 660 pages ? :shock:
M'en faut trois fois moins en lisant sans sauter un mot (et jusqu'à 6 fois moins s'il y a des longueurs que je parcours en diagonale).
Si je mets 29h, c'est parce qu'alors c'est de la relecture d'un texte sur lequel il y a du boulot.
Les beaux livres, c’est aussi par ici : www.eons.fr

systar
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Message par systar » sam. oct. 11, 2008 11:27 am

Eons a écrit :
systar a écrit :
Eons a écrit :
Thibaud E. a écrit :J'y suis ! Hal… Carl 9000… 2001 :D
29h de délai. Ça va, tu comprends vite, faut juste te laisser du temps. :lol:
Oui, 29h.
Le temps qu'il faut pour lire le livre.
ça nous fait du un euro l'heure de plaisir.
ça va. C'est honnête.
29h pour 660 pages ? :shock:
M'en faut trois fois moins en lisant sans sauter un mot (et jusqu'à 6 fois moins s'il y a des longueurs que je parcours en diagonale).
Si je mets 29h, c'est parce qu'alors c'est de la relecture d'un texte sur lequel il y a du boulot.
Oui, mais je suis lent, je comprends pas vite, et j'ai même quelques problèmes de dyslexie qu'on n'avait pas détectés assez tôt pour bien les traiter. Ce qui explique cela.
La chair est faible, mais l'intellect encore plus.
Telle est la marque de mon essentielle finitude (mais je me soigne, et je m'entraîne: sur Lilliputia, je fais du 20 pages par heures)

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Eons
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Message par Eons » sam. oct. 11, 2008 11:30 am

systar a écrit :[Oui, mais je suis lent, je comprends pas vite, et j'ai même quelques problèmes de dyslexie qu'on n'avait pas détectés assez tôt pour bien les traiter. Ce qui explique cela.
OK, je comprends. Excuse-moi.
Les beaux livres, c’est aussi par ici : www.eons.fr

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Message par systar » sam. oct. 11, 2008 11:31 am

Eons a écrit :
systar a écrit :[Oui, mais je suis lent, je comprends pas vite, et j'ai même quelques problèmes de dyslexie qu'on n'avait pas détectés assez tôt pour bien les traiter. Ce qui explique cela.
OK, je comprends. Excuse-moi.
Je t'en prie, y a pas offense!
:wink:

Bouse Bleuâtre

Message par Bouse Bleuâtre » dim. oct. 12, 2008 11:16 am

systar a écrit :Sans compter qu'on n'a toujours pas compris pourquoi il fallait forcément refoutre de la SF de papy (si brillante soit-elle par ailleurs, là n'est pas la question) là où ça n'a aucun rapport avec la choucroute...
:lol: :lol: :lol:

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samdelfino
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Message par samdelfino » mar. déc. 16, 2008 7:09 pm

Bon, le sujet date un peu, mais bon, tant pis

J'ai lu le livre le jours de sa sortie, bon j'avoue, sur 2....jours...Enfin bref, entre tout le monde qui parlait d'un chef d'oeuvre, je me suis dit, il me le faut dans mon tout tout petit rayon...

Entamage de lecture, un peu fatigué par ma journée de taff, et BOUM, empoigné par la lecture, je loupe mon arret, me couche à 3 heure du mat'

Un super livre, dérangeant... j'attend la suite pour me faire un avis en faîtes, mais j'ai beaucoup aimé

Le soucis, c'est qu'il ne se vend pas!
http://www.bloody-rose.com

la pluie n'est pas la larme de Dieu, mais la sueur du diable

Bouse Bleuâtre

Message par Bouse Bleuâtre » mar. déc. 16, 2008 7:42 pm

samdelfino a écrit :Le soucis, c'est qu'il ne se vend pas!
J'ai p'têt' une p'tite idée du pourquoi du comment, mais je ne l'exprimerai pas.

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Sylvaner
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Message par Sylvaner » mar. mars 31, 2009 10:06 pm

Hmpff....

J'ai vu que la page 4 ne parlait pas de Vélum
J'ai lu les 3 autres pages.

En fait, aucune ne parle de Vélum...

et moi, je ne sais toujours pas si je vais l'acheter ou pas ! :evil: :wink:
---
"Il aura fallu des millions d'années à l'espèce humaine pour descendre des arbres et seulement dix de plus pour se mettre en vitrine." R. Powers

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Lensman
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Message par Lensman » jeu. avr. 02, 2009 10:10 am

Bouse Bleuâtre a écrit :
samdelfino a écrit :Le soucis, c'est qu'il ne se vend pas!
J'ai p'têt' une p'tite idée du pourquoi du comment, mais je ne l'exprimerai pas.
D'un autre côté, il y a aussi des livres dont on ne s'explique pas le pourquoi et le comment ils ne se vendent pas...
C'est à se demander si le fait qu'un livre se vende ou ne se vende pas a une autre signification que simplement le fait que c'est dommage pour son auteur et son éditeur (et accessoirement pou les lecteurs potentiels qui ratent quelque chose...). Un exemple: Greg Egan (j'espère d'ailleurs me tromper...).

Oncle Joe

Papageno
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Message par Papageno » jeu. avr. 02, 2009 12:31 pm

Un exemple: Greg Egan
Ouais, Egan !
Il va falloir organiser une Manif à la porte des éditeurs en gueulant
"Traduisaient Diasporama, traduisaient Diasporama, traduisaient Diasporama..."
Avec poings levés, pancartes, cocktail Molotov et tout et tout.

Camarade Papageno

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Razheem L'insensé
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Message par Razheem L'insensé » jeu. avr. 02, 2009 2:18 pm

Sylvaner a écrit :Hmpff....

J'ai vu que la page 4 ne parlait pas de Vélum
J'ai lu les 3 autres pages.

En fait, aucune ne parle de Vélum...

et moi, je ne sais toujours pas si je vais l'acheter ou pas ! :evil: :wink:
Titre : Vélum
Auteur : Hal Duncan
Editeur : Denoël
Collection : Lunes D’encre
666 pages

Bon Voilà, je dois parler de Vélum. Comment en parler ? C’est là la question…

Eh oui, parce que ce livre tant attendu par les aficionados de littérature de l’imaginaire, ce livre qui a tant fait couler d’encre, ce livre de toutes les heures est enfin disponible chez Lunes D’encres.

Premier constat, la couverture superbe d’un certain Daylon pour un objet-livre non moins superbe.
Second constat, il est épais, 666 pages (tiens tiens...) et aussi il s’ouvre tout seul (ce qui fait peur la nuit quand vous le reposez sur la table de chevet).

Alors l’inquiétude, c’est bien sûr de savoir si le fameux bouquin est à la hauteur de sa réputation qui a tant fait trépigner le fandom.

Parce qu’à la base c’est un livre avec des anges dedans et il semble qu’il y a une guerre entre deux factions au sein d’un univers étrange et au milieu de ça, un livre encore plus étrange. Alors bon comme ça c’est vrai, pour l’originalité on se dit que ce n’est peut-être pas ça.
Et puis on ouvre le livre et on entame le prologue…

Donc au final 2 constats s’imposent : d’abord l’écossais Hal Duncan est un fou, un très grand fou mais un fou ambitieux diablement doué et ensuite Vélum est monstrueux, barré, dense et terriblement génial.
Il ne me reste plus après cette critique/cet avis à vous souhaiter bonne lecture...



Bon, alors une fois le prologue passé, on se dit que l’on tient un truc, un truc qui peut être génial, on entraperçoit déjà le petit mode d’écriture et le jeu de Duncan, ses tourbillons et ses folies. Parce que le bonhomme ne nous fait pas un truc linéaire avec un début une fin et entre les deux une histoire fil rouge. Non, définitivement non. Et plus ça va plus il s’amuse à imbriquer des histoires sur d’autres histoires, parce que, oui il y a l’histoire d’anges, d’amortels comme ils se nomment et pis des camps, l’Alliance et les Souverains, et enfin un trône, celui de Dieu, vide…

Bien entendu, vous vous dites que tout cela, tout ce que je viens de dire sur ce que raconte Vélum, c’est vachement complexe et tordu. En fait sous un vernis de complexité, par un jeu entre les paragraphes, dans la construction de son texte, oui le Vélum n’est pas facile d’accès mais pourtant il n’est pas extrêmement compliqué une fois qu’on se prête au jeu et qu’on se laisse porter. Une fois qu’on a compris que les histoires sont comme la nature même du Vélum, qu’elles sont en plusieurs dimensions, et il faut prendre tout son temps pour les explorer…

Donc j’en étais où ? Ah oui Vélum c’est des paragraphes qui constituent des histoires fragmentées mais toutes reliées, on peut faire des bonds de côtés dans le temps mais aussi dans l’espace et aussi dans les possibles. A un moment on peut parler d’un prologue puis partir sur l’histoire de la conclusion puis revenir sur l’histoire de l’histoire.

C’est pour ça que la critique n’est pas facile mais je vais faire de mon mieux et être plus linéaire. Ce dont il est question c’est d’un univers, euh non d’un multivers. Imaginons une immense page blanche (ou de la peau humaine tendue) et dessus une petite tâche d’encre (oui l’encre toujours l’encre). La page blanche c’est le Vélum qui contient tout, dont notre monde qui se trouve être la minuscule tâche. Le Vélum contient donc une infinité de mondes, un monde où la Grande Bretagne est reliée au continent, un autre où les nazis n’ont jamais tué les juifs puisqu’ils ont exterminé les gnomes, et puis un autre où la vie s’est construit en pente, de niveau en niveau et puis…
Mais voilà, le Vélum ce n’est pas qu’une infinité de mondes possibles, non c’est aussi une drôle d’histoire de temps entre le passé, le présent et le futur, de la Grèce antique à la guerre d’Espagne, de Sumer au Caucase du XXème siècle…et tout ça d’un seul tenant, en même temps.

Et puis au milieu cette histoire d’anges, Il semble que les anges aient renversé Dieu de son trône. En effet son scribe, Métatron est depuis à la tête de l’Alliance alors qu’en face ceux qui n’ont pas accepté les vues de Métatron et de ses partisans, parmi lesquels Michel, Azazel ou encore Gabriel, forment les Souverains fait de Dieux anciens tel qu’Eresh ou Malik/Moloch. Une guerre s’annonce donc mais au sein du Vélum dans tout les temps, les possibles et en tout les lieux. Mais certains ne veulent pas prendre part à cette foutue guerre des cieux, des rebelles épris de liberté qui parcourt le Vélum et essaye de se cacher dans les plis. Il y a Anna/Phreedom, jeune fille, jeune sœur et jeune mère rebelle, mais aussi Finnan/Foresight accroché à sa liberté et qui conserve en lui le feu sacré, et puis Thomas / Tommy l’éternel fuyard éternellement rattrapé et trahi.

Car oui, chaque personnage porte une multitude de noms, des noms qui sont autant de possibilités d’existences dans le Vélum, à travers les temps les noms évoluent comme à travers les possibles. Mais au final, c’est toujours les mêmes que l’on retrouve, toujours 4 personnages centraux épris de liberté, 4 personnages luttant contre l’adversité : Finnan, Phreedom, Jack et Thomas. C’est eux dont l’on suit les histoires à travers cet enchevêtrement nommé le Vélum pour échapper à l’embrigadement de Métatron.

Voilà donc un peu dressé une ligne de force de l’ensemble, mais comme un tableau, il se trouve qu’il en existe de nombreuses autres et ici en l’occurrence presque une infinité.

Hal Duncan nous fait voyager, il nous fait voyager depuis la découverte d’un mystérieux Livre de Toutes les Heures qui transporte Reynard à travers le Vélum sur la Route de Toute Poussière jusqu’à un futur cyberpunk où un anarchiste, Jack Flash, veut renverser l’Empire. Mais ce n’est pas tout car dedans s’invite aussi la guerre d’Espagne, la première et la seconde guerre mondiale, le monde moderne et les mythes. Car les mythes ont une place prépondérante dans Vélum, Chaque mythe domine de son ombre une partie du texte et établit liens et analogies avec les personnages. Chaque personnage, quelque soit les noms qu’il porte à travers tout cet imbroglio porte en lui un archétype, un avatar. Io, Prométhée, Inanna, Dumuzi, Enki… Au final chacun cache en lui le sceau d’un archétype qui puise ses fondements dans la mythologie quelle soit grecque, latine ou sumérienne.

Le moins que l’on puisse dire d’abord c’est que l’ambition du livre et donc de l’auteur est totalement démesurée, et honnêtement, ça fait un bien fou enfin de voir quelqu’un oser avec en plus tant de talent et de réussite. Non seulement le bonhomme maitrise ses mythes, son histoire, son univers mais en plus ses fulgurances sont impressionnantes. Des tranchées de la Somme au froid glacial d’un abattoir en passant par la découverte du corps de Yahvé, tout y est magnifique avec une langue qui s’adapte au temps et aux personnages, qui impose une originalité à chaque chose. Et les trouvailles sont magnifiques, entre l’encre qui marque et fait ressortir les archétypes, le tapis de mondes exploré par celui qui a trouvé le livre de toutes les heures dans le prologue ou encore cette nanotechnologie des cieux, les bitmites, qui deviennent des êtres à part entière, c’est vertigineux.

Il y aurait encore bien des choses à en dire de ce monstre littéraire qu’a écrit Hal Duncan, il me resterait à vous parler de thèmes que le livre aborde, de liberté, de révolution, d’anarchie, de croyance, de langage et surtout d’absence (de Dieu) . Il me resterait à vous parler de la réécriture à chaque époque et de la transcription des mythes, de vous parler de l’étonnement de voir un ange noir avec des dreadlocks arriver pour parler à un amortel renégat au cœur d’un camp de caravanes,de vous parler de cette langue surnaturelle des cieux qui modèlent tout, cette Cryptolangue, et puis encore de vous raconter les registres qui changent au cours de l’histoire si bien qu’on y trouve de tout ou presque.

Mais pour conclure, j’insiste sur la forme déroutante du roman, qui bien entendu va en rebuter plus d’un, d’aucuns prétendant qu’il s’agit d’esbroufe, qu’au final ça n’a pas tant de valeur, mais au contraire pour moi c’est de tout le sel du bouquin. Un sorte de transposition de la nature chaotique et folle de ce multivers du Vélum jusqu’au niveau du texte, de l’anarchie qui s’incruste jusque dans la façon de conter la liberté et les histoires. Certains n’auront pas le courage de s’y atteler, d’autres ne voudront même pas y accéder mais ce qui est sûr, c’est que ceux qui traverseront le Crépuscule pour aller voir au-delà, ceux qui escaladeront les plusieurs niveaux et rejoindront la Route de Toute Poussière entre les anges et les démons, entres les mythes et les hérauts, Ceux-la ne pourront que réclamer 2 choses : La suite, Ink, et peut-être de recommencer un voyage si dépaysant et si ébouriffant qu’en lisant un chapitre on se surprend à vouloir faire un bond de côté pour faire machine arrière et recommencer.

Et ça, bon sang c’est une sacrée claque.

Pour la conclusion, retrouvez là au début du texte, c’est là l’essence de ce livre.


Désormais, à la page 4, on parle de Vélum.
"J'ai creusé ma Tombe en ce Lieu , et c'est ici que je triompherai ou mourrai " Chapelain Grimaldus des Black Templars Lors de la bataille D'Helreasch.

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thomasday
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Message par thomasday » jeu. avr. 02, 2009 2:23 pm

samdelfino a écrit :Le soucis, c'est qu'il ne se vend pas!
En fait, il ne se vend pas si mal que ça... La dernière fois que j'ai regardé on était à 3200 exemplaires vendus avec des retours presque compensés par les réassorts.

C'est pas génial, mais c'est loin d'être une catastrophe comme... Le cycle de Kane de Karl Edward Wagner par exemple.

GD

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